Journée régionale Culture et travail social.2

Les pratiques culturelles comme levier vers un travail social plus inclusif

Le programme Respirations (co-porté par la Fédération des Acteurs de la Solidarité, Cultures du Cœur et les Petits Débrouillards) organise en partenariat avec la Ville d’Angers, la 2e édition de la journée thématique « Culture et Travail Social », le MARDI 13 FÉVRIER 2024 à la Maison de Quartier des Hauts de Saint Aubin à Angers (de 9h30 à 16h)

Nous sommes ravis de vous inviter à réfléchir ensemble sur les passerelles entre le champ social et culturel, à questionner les pratiques professionnelles et la place donnée aux personnes accompagnées dans l’élaboration des actions, à partager votre vécu et vos retours d’expériences, afin que chacun.e reparte avec des idées, des solutions, des outils, pour continuer à développer des dynamiques de travail collectives et pluridisciplinaires.

Ce temps de rencontre est ouvert à tous.tes, et plus particulièrement aux personnes accompagnées, à l’ensemble des bénévoles, aux professionnel.le.s des secteurs sociaux, socio-culturels et culturels, désireux.ses de réfléchir collectivement : rejoignez-nous !

Pour vous inscrire à cette journée c’est par ici !

 

Programme 

Programme prévisionnel mise à jour régulièrement

09h30 – Accueil café et émargement

09h45 – Ouverture et introduction

Prises de paroles institutionnelles

10h –  Temps de plénière collective         

11h15/12h30 – Ateliers thématiques (co-animés par des acteurs du secteur social ET du secteur culturel)

Atelier 1 : Impulser des formes culturelles plus participatives et inclusives
En présence de Cultures du Cœur Alice Pauly, Responsable Formation et animation du réseau

Atelier 2 : Interroger les pratiques et s’acculturer aux usages de chacun pour mieux accompagner les personnes.
En présence de l’Hectare – Territoires vendômois (41) / Centre national de la marionnette Marion Jillier et Thomas Fox

Atelier 3 : Mieux connaitre les publics et leur donner la parole dans l’élaboration des projets culturels
En présence de Marvin DOGERE, Les Petits Débrouillards Grand Ouest (53)

Atelier 4 : La Charte Culture et Solidarité (ville d’Angers) comme terrain de réflexion pour inventer de nouveaux espaces de participation des usagers.
En présence de Pauline Gesta, Déléguée à l’Action culturelle et territoriale – Orchestre National des Pays de la Loire et Patrick Chapron, conseiller en insertion – France Terre d’Asile CPH

12h30/14h – Repas sur place

14h/15h – Ateliers thématiques

15h/15h30 – Retour en plénière : temps de synthèse

15h30/16h – Clôture

 

Retrouvez l’ensemble des ressources bibliographiques 👇

 

“Passer à côté des droits culturels, c’est passer à côté des droits humains fondamentaux”
Podcast Radio France – Février 2021

Les droits culturels, c’est quoi ?
Association des Centres culturels -Vidéo – Avril 2019

Déclaration de Fribourg
Observatoire de la diversité et des droits culturels – 1993

Loi NOTRe du 7 août 2015 Nouvelle organisation territoriale de la République
Vie Publique – dernière modification 2015

La charte culture et solidarité
Ville d’Angers

OBSERVATOIRE de la médiation culturelle
Cultures du cœur – Observatoire

Plaidoyer Culture
Fédération des acteurs de la solidarité – Plaidoyer – Avril 2023

Les Petits Débrouillards
Les Petits Débrouillards – Ressources en ligne

Programme Respiration
Programme Respirations – Ressources en ligne

 

 

PROJET DE LOI IMMIGRATION : LA FAS APPELLE À UNE MOBILISATION DES ASSOCIATIONS NOTAMMENT POUR DÉFENDRE L’HÉBERGEMENT DES SANS ABRI LE 18 DECEMBRE A 17H

Retrouvez ICI le communiqué de presse de la FAS Centre – Val de Loire

Webinaires pour la Journée contre la précarité énergétique

Le 23 novembre 2023 marquera la troisième édition de la Journée contre la précarité énergétique, un événement national coordonné par la Fondation Abbé Pierre et co-organisé par 23 partenaires engagés dans la prévention de la précarité énergétique, la lutte contre l’exclusion, et la protection de l’environnement.

Cette journée vise à sensibiliser le public et les décideurs nationaux à l’ampleur de la précarité énergétique, un problème touchant 12 millions de personnes en France. En mettant en lumière cette réalité, elle aspire à mobiliser l’attention sur le besoin urgent d’actions concrètes, notamment dans le contexte du grand défi de la rénovation énergétique.

Dans le cadre de cette journée, la Fondation Abbé Pierre organise 2 webinaires consacrés aux politiques européennes et leur impact sur la vie des Européens.

1# Réforme du marché de l’électricité, quelles réponses pour les plus vulnérables ?

Mardi 21 novembre 9h30 – 10h30

  • Modération : Aurélien Breuil, réseau Rappel
  • Les mesures de protection face à la crise énergétique : Camille Defart, Institut Jacques Delors
  • Les tarifs réglementés de l’électricité : Violaine Lanneau, FNCCR
  • La protection contre les coupures d’électricité : Sarah Coupechoux, Fondation Abbé Pierre

2# Green Deal et rénovation en Europe – Où en est-on ?

Vendredi 24 novembre de 11h à 12h

  • Modération : Sarah Coupechoux, Fondation Abbé Pierre
  • Directive sur la performance énergétique des bâtiments, état des discussions : Eva Brardinelli, Can Europe
  • Garde-fous sociaux dans la future directive  : Anna Bajomi, Feantsa
  • La rénovation du parc social en Europe :  Margherita Marinelli, Housing Europe
  • Rénovations sociales du parc privé : Elena Milanovska, Habitat for humanity

Pour plus d’informations, rendez vous sur le site dédié : https://www.journee-precarite-energetique.fr/

Projet de loi de finances : des avancées sur l’hébergement et le logement

L’Assemblée nationale a débuté l’examen de la partie II du projet de loi de finances 2024 (PLF2024). Cette partie est consacrée aux dépenses publiques. Parmi les propositions de la FAS, la commission des finances a retenu plusieurs amendements.

Sur l’hébergement, la commission des finances a adopté deux amendements transpartisans portant sur l’augmentation du nombre de places d’hébergement. Cette adoption concrétise notre mobilisation constante avec l’Unicef France, le Collectif des associations unies dont la FAS est porte-parole, de la Fédération des Conseils de Parents d’Elèves (FCPE), du collectif Jamais sans toit ; mobilisation ayant abouti une première fois par l’organisation d’une conférence de presse le 17 octobre à l’Assemblée nationale pour présenter les résultats actualisés du baromètre des enfants à la rue. En lien avec les partenaires susnommés, un courrier a été transmis à la Première ministre et au ministère du logement pour demander au gouvernement de maintenir ces avancées en cas de mobilisation du 49.3.

Sur le volet du logement, là aussi l’amendement que la FAS porte visant à favoriser la production de 60 000 logements PLAI, financés par le Prêt Locatif Aidé d’Intégration, a été retenu en commission des affaires économiques puis en commission des finances.

Enfin un amendement relatif au versement de la prime mensuelle de 183 euros net/ mois pour les salarié.es des Services intégrés d’accueil et d’orientation (SIAO) a également été retenu. Nous portons cette demande auprès de la Première ministre depuis son engagement en novembre 2022, auprès du ministère du logement, de la DIHAL et des parlementaires.

S’il n’est pas certain que ces amendements soient retenus dans le projet de loi final – ni même examinés en séance publique dans l’éventualité d’un recours par le gouvernement de l’article 49-3 – ces adoptions témoignent de l’écoute par la représentation nationale des préoccupations de la Fédération.

Plusieurs autres amendements sont en cours d’études et la FAS espère d’autres succès avant l’examen des textes budgétaires par le Sénat.

 

Rémi Boura

Responsable des relations parlementaires et de la recherche-action

Arrivée de Marie-Charlotte Pierre comme coordinatrice Respirations

© SYLVIE GROSBOIS

Quel est ton parcours avant d’intégrer Respirations ?
MC.P :
Tout au long de mon parcours professionnel, j’ai toujours essayé de coupler projet culturel et action sociale. J’ai débuté mon parcours professionnel au sein de diverses structures culturelles et artistiques parisiennes (un théâtre, une compagnie de danse, un festival de cirque) engagées auprès des publics les plus fragilisés. J’ai continué par un poste de coordinatrice pour développer l’action culturelle dans des lieux de vie étudiante au sein des universités, dans le but de rendre acteurs les étudiants dans la gestion et la programmation des lieux. J’ai par la suite intégré le Cnous comme chargée de mission culture et vie de campus, pour animer le réseau des Crous sur ces axes. Enfin, j’ai récemment occupé un poste de chargée de mission culture, loisirs et départ en vacances, aux Restos du cœur.

D’où vient ton engagement pour l’associatif et le social ?
MC.P : Je souhaite par mon activité professionnelle agir sur mon environnement de vie et rendre mes convictions concrètes au quotidien. Le fait de travailler dans une association qui s’engage envers des publics les plus fragilisés répond à ce souhait.

Qu’est-ce qui t’a attiré dans l’idée de rejoindre le programme Respirations ?
MC.P : Je suis convaincue de l’intérêt de l’action culturelle comme outil d’émancipation et d’autonomie de toutes les personnes. Participer au développement du programme Respirations, c’est permettre aux personnes d’exercer leurs droits culturels comme tout à chacun et d’ancrer l’action culturelle comme outil d’accompagnement dans le champ social. C’est ce qui m’a motivé à rejoindre le programme.

Zoom sur le Fonds d’Initiatives Locales contre les Exclusions (FILE)

Le FILE (Fonds Initiatives Locales contre l’Exclusion) est soutenu par la Fondation JM Bruneau depuis près de 20 ans des projets développés par les adhérents de la Fédération. En 2022, ce sont 105 projets qui ont été financés à hauteur de 420 000 euros.  L’objectif du FIL est de proposer un levier pour déployer de nouveaux projets et des actions complémentaires aux activités des associations sur lesquelles il est souvent difficile de trouver un financement. Au fil des années, le FILE a permis de favoriser des initiatives sur la participation et l’expression des personnes, l’accès à des activités éducatives, culturelles et sportives, d’accompagner l’accès au logement, d’aménager des espaces collectifs conviviaux, de créer des passerelles avec le monde de l’entreprise, d’élaboration des formations adaptées aux publics accompagnés. De nouveaux axes ont aussi été développés comme la lutte contre l’exclusion numérique et les réponses aux besoins urgents dans l’accueil des étranger.ère.s.

Parmi les exemples de projets soutenus sur l’axe emploi, on peut citer :

Sur les passerelles avec le monde de l’entreprise :

  • Le parrainage des salarié.e.s en insertion par des entreprises : renforcement de l’accompagnement vers l’emploi en mobilisant des parrains / marraines en entreprise, ce qui permet aux salarié.e.s en insertion de bénéficier d’un suivi individualisé et d’un réseau de parrains / marraines et à l’entreprise de repérer de futures ressources humaines ;
  • Le chantier d’insertion intégré dans l’entreprise : pour rapprocher les salarié.e.s en insertion au monde de l’entreprise en les intégrant directement dans une entreprise du secteur marchand, par la sous-traitance d’une partie d’un marché ;
  • Ça va cartonner : atelier de création de meubles en carton recyclé pour des femmes issues de quartiers défavorisées. Une mise en situation de travail complétée par un atelier de techniques de recherche d’emploi.

Sur la formation avec les publics :

  • L’éco-construction d’un bâtiment public : support à la formation des salarié.e.s en insertion aux techniques de construction écologique et au développement de ce type de chantiers auprès des collectivités locales ;
  • La mise en place d’un dispositif de certification des compétences des salarié.e.s en insertion, par des jurys professionnels internalisé par l’association ;
  • La mobilisation professionnelle renforcée : mise en place d’ateliers techniques sur le CV, la lettre de motivation, l’entretien, l’utilisation du web, couplés d’un stage avec des comédiens pour des jeux de rôles sur l’entretien d’embauche et l’accompagnement par un.e parrain / marraine dans une entreprise pour un premier lien avec la vie professionnelle ;
  • Cultiver son jardin : partenariat entre 6 jardins d’insertion pour mettre en œuvre une formation commune sur le maraîchage ;
  • L’auto-école sociale : portage d’une auto-école pour permettre l’accès au permis de conduire et à la mobilité pour des personnes en difficulté d’insertion professionnelle.

Parmi les projets sur l’axe habitat, on peut également citer :

Sur le montage de projets et d’aide au démarrage de nouvelles structures ou services d’accueil et d’hébergement 

  • La mise en place d’un appartement pédagogique pour réaliser des animations et mises en situation autour du savoir habiter, les droits, les devoirs des locataires, l’entretien, la consommation d’énergie, le bricolage …
  • Le développement d’une offre de logement intermédiaire : proposer une alternative à des ménages qui ne relèvent d’une orientation CHRS et qui n’ont besoin que d’un accompagnement léger avant de voir aboutir leur projet de logement ;
  • Le réaménagement d’espces collectifs : enrichir la vie collective d’un foyer de jeunes travailleur.euse.s et développer des animations autour d’ateliers de cuisine qui permettent l’organisation de tables d’hôtes ouvertes aux habitant.e.s du quartier.

Sur les actions favorisant l’accès ou le maintien au logement des personnes sans-abri ou sortant d’hébergement

  • Le lieu ressource logement ouvert aux personnes en situation de précarité. Il met en commun les moyens humains et financiers des associations pour permettre une offre de service complète sur un territoire pour accompagner l’accès ou le maintien dans le logement ;
  • La coordination de l’offre d’hébergement pour les détenu.e.s en fin de peine avec la préparation en amont par un diagnostic (intervention d’un travailleur social en maison d’arrêt) ;
  • La création d’une agence immobilière à vocation sociale : centre de ressources avec les bailleurs privés, elle assure une garantie par le suivi dans l’usage du logement, les relations avec le voisinage et les risques d’impayés ;
  • La mutualisation de compétences à destination des locataires d’un HLM : accompagnement social de salarié.e.s en insertion logés en sous-location dans un immeuble HLM et développement d’actions collectives pour tout.e.s les locataires, mise en place d’un jardin partagé, ateliers de cuisine ;
  • Le partenariat d’insertion locale : entre une association et un bailleur HLM pour favoriser l’insertion durable de sortants d’un CHRS, en les accompagnant dans leur logement mais aussi en développant des actions avec les bailleur et les habitant.e.s sur des projets de quartier.

Pour plus d’informations sur le FILE :

Fonds FILE

Dans les newsletters de juillet et août, vous retrouverez des zooms sur les associations ayant réalisé les projets cités ci-dessous et d’autres projets innovants et d’autres axes (éducatifs et socioculturelles / accès aux droits et réduction de la fracture numérique / accueil et accompagnement des étranger.ère.s).

[CP] Journée mondiale des réfugié.e.s : la fédération des acteurs de la solidarité appelle à assumer une politique d’accueil organisé

Journée mondiale des réfugié.e.s – Téléchargez le communiqué de presse de la FAS…

Paris, le 20 juin 2023 – A l’occasion de la journée mondiale des réfugié.e.s qui a lieu ce 20 juin, la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) rappelle l’importance d’assumer pleinement une politique d’accueil organisé et de s’en donner les moyens. À la fin du mois de juin 2022, quelque 103 millions de personnes avaient été déracinées dans le monde d’après le HCR (Agence des Nations Unies pour les réfugié.e.s) et l’Ofpra ainsi que la Cour Nationale du Droit d’Asile (CNDA) prononçait, en 2022, 56 179 décisions accordant un statut de protection (réfugié ou protection subsidiaire, hors mineurs accompagnants), soit une hausse de 3,3% par rapport à 2021.

« Faire vivre le droit d’asile en ces temps de crispations sociales, identitaires, de divisions, est un combat. Partout en Europe, là où l’accueil des réfugiés est digne et maîtrisé, il se passe bien ; là où prévalent l’indignité et le désordre progressent les instrumentalisations de tous ordres. » Pascal Brice, Président de la FAS

Pour un dispositif d’accueil à la hauteur avec la création de places d’hébergement et de logement

La FAS tient à rappeler l’importance d’un investissement significatif dans les politiques d’intégration, notamment pour l’accès au logement des personnes bénéficiaires d’une protection internationale. Actuellement, de nombreuses personnes réfugié.e.s vivent dans des conditions précaires ; bientôt en fin de droits dans un CADA, HUDA ou CPH, ou parfois à la rue. De nombreux et nombreuses travailleur.euse.s sociaux.ales accompagnent chaque jour les réfugié.e.s dans leur parcours d’accès au logement, véritable parcours du combattant.

La FAS soutient la fixation d’objectifs annuels d’attributions de logements sociaux aux ménages réfugiés, fixés par le préfet. Elle souhaite que ces objectifs soient ambitieux et cohérents avec les besoins locaux. La Fédération est convaincue que le logement constitue un vecteur d’intégration pour les personnes. Pour ce faire, les mesures de bail glissant ont su démontrer l’impact positif dans l’accès au logement des personnes concernées. L’association ELIA (adhérent de la FAS PACA) a ainsi ouvert en 2019 à Marseille un CPH (Centre Provisoire d’Hébergement) de 100 places permettant aux personnes accompagnées d’entrer dans un processus de bail glissant. En 2022, plus de 147 personnes ont été accompagnées.

L’accueil des réfugié.e.s ukrainien.ne.s a été exemplaire en matière d’accueil et d’hébergement, avec l’appoint d’une belle mobilisation citoyenne exceptionnelle. La Fédération appelle à s’appuyer sur les acquis de cet accueil, à commencer par un accès simplifié au séjour, au travail et aux soutiens, au bénéfice de tous les réfugiés, sans distinction de nationalité.

Les acteurs institutionnels et associatifs doivent être renforcés pour être en mesure de proposer un accompagnement global, dans la durée, afin d’assurer l’autonomie et l’insertion sociale et linguistique des personnes, ainsi qu’un suivi médical et psychologique. Un pilotage interministériel est nécessaire pour répondre aux besoins globaux des réfugié·e·s.

Pour un droit effectif et rapide au travail

Concernant l’accès au marché du travail, la FAS s’appuie sur l’expertise de ses adhérents. Pour la Fédération, l’objectif de plein emploi fixé ne pourra être atteint qu’en accompagnant de manière adaptée l’ensemble des personnes rencontrant des difficultés d’accès à l’emploi par une simplification de la procédure pour garantir le droit effectif et rapide au travail. L’accompagnement en matière d’insertion professionnelle est un autre pré-requis avec la valorisation des compétences, en lien avec les besoins des territoires d’accueil.

Parmi ces adhérents, la Fédération cite l’association ImpulseR Gironde qui a lancé une réflexion autour de l’insertion professionnelle des personnes réfugiées (accompagnement de 6 mois avec expérience professionnelle rémunérée, formation FLE à visée professionnelle et à l’usage du numérique, ateliers collectifs,…). L’idée est née d’un constat simple de 10 structures de l’Insertion par l’Activité Economique (SIAE) : les personnes réfugiées rencontrent de grandes difficultés dans l’accès au marché du travail et dans la reconnaissance de leurs compétences en France. Dès 2019, les grandes lignes d’impulseR sont tracées. En 2020, le programme prend forme, et il est lauréat de l’Appel à projets « Intégration professionnelle des réfugiés », dans le cadre du Plan d’investissement dans les compétences piloté par le Ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion.

À propos de la Fédération des acteurs de la solidarité

La Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) est un réseau de plus de 900 associations et structures qui accueillent et accompagnent les personnes en situation de précarité. Elle est composée d’une fédération nationale et de 13 fédérations régionales sur l’ensemble du territoire. La Fédération lutte contre les exclusions, promeut l’accompagnement social global et favorise les échanges entre tous les acteurs du secteur social. La FAS représente 2 800 établissements et services dans les secteurs de l’insertion par l’activité économique, de la veille sociale, de l’hébergement, du logement adapté, du médico-social ou encore dans l’accueil des demandeurs d’asile et des réfugiés. La Fédération soutient ses adhérents, les forme et les conseille. Elle agit également auprès des pouvoirs publics pour promouvoir une société plus juste et plus solidaire. Elle participe enfin à des projets d’innovation sociale dont plusieurs sont soutenus par l’Etat, tels que les programmes SEVE Emploi et Respirations. www.federarionsolidarite.org

Contacts presse :

Laure Kuntzinger, responsable du service communication et des partenariats à la Fédération des acteurs de la solidarité : laure.kuntzinger@federationsolidarite.org – 06 31 16 27 90

Charlotte Abello, chargée des relations médias à la Fédération des acteurs de la solidarité : charlotte.abello@federationsolidarite.org – 06 17 80 03 52

Appel à projets régional « ALLIANCES LOCALES POUR LES SOLIDARITES 2023 »

 

Appel à projets régional « ALLIANCES LOCALES POUR LES SOLIDARITES 2023 » lancé par le Commissariat à la lutte contre la pauvreté et la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DRIEETS) d’Île-de-France

La Stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, conduite depuis 2018, s’est articulée autour de deux grandes priorités : celle donnée à la prévention et à l’investissement social (notamment à destination des enfants et des jeunes) et celle donnée à la sortie de la pauvreté par le travail. […]

Lire le résumé – Télécharger

Lire le cahier des charges – Télécharger

Lancement du FILE 2023

Le FONDS INITIATIVES LOCALES CONTRE L’EXCLUSION (FILE) soutient les projets portés par les adhérents de la Fédération sur les thématiques “EMPLOI”, “HABITAT” et «MIGRANTS». Il est financé par la FONDATION JM BRUNEAU, Fondation sous égide de la Fondation de France.

La Fondation Bruneau a encore augmenté sa dotation cette année pour un total de 440 000€. Toujours 3 axes de financement, expliqués dans le document ci-joint :

  • Pour les structures agissant dans le champ de l’IAE, FILE EMPLOI (fonds de 110 000€),
  • de l’AHI, FILE HABITAT (fonds de 190 000€),
  • et les structures agissant dans le champ de l’accueil des MIGRANTS (fonds de 140 000€).

Les demandes de subvention sont à faire en ligne sur la plate-forme suivante qui d’ores et déjà ouverte

Les dépôts de dossiers pour les demandes de subventions 2023 sont ouverts, suivez le lien suivant :

→ APPEL A PROJET 2023

Des comités seront organisés tout au long de l’année jusqu’à fin octobre ou épuisement des fonds. Pour le premier comité de sélection de l’année, il sera organisé vers mi-avril pour les dossiers arrivés d’ici le 31 mars.

Les dossiers seront examinés par ordre d’arrivée en fonction des critères de priorité. Les modalités sont décrites dans ce document via ce lien.

Fondation Bouygues Telecom – La mobilisation citoyenne au profit d’un impact social ou environnemental

Convaincue que ce n’est qu’ensemble que nous adresserons la nécessaire transition environnementale et sociale, la Fondation Bouygues Telecom renouvelle son appel à projets « La mobilisation citoyenne au profit d’un impact social ou environnemental ».

En 2023, une vingtaine de projets associatifs seront sélectionnés et récompensés par des dotations de 5 000 à 15 000 euros.

En cohérence avec la mission de la Fondation Bouygues Telecom, les projets présentés devront placer l’engagement citoyen au cœur : c’est grâce à leur action que ces citoyens et citoyennes engagés sur leur temps personnel (bénévoles ou grand public) ont un impact positif sur l’environnement ou envers des publics fragiles (exemples : protection de la biodiversité animale et/ou végétale, réduction de l’empreinte carbone, répit des aidants, insertion professionnelle, changement de regard vis-à-vis des personnes vulnérables, etc.).

Les dossiers doivent être complétés et soumis avant le 24 février 2023 sur la plateforme dédiée. Après une phase d’instruction et de sélection effectuée par des collaborateurs Bouygues Telecom, les résultats seront communiqués aux associations fin mai 2023.

A noter que chaque dossier présenté devra être parrainé par un client ou un collaborateur Bouygues Telecom engagé dans l’association, qu’il y soit bénévole, salarié, adhérent ou bénéficiaire – une manière de relier l’association et l’entreprise par l’humain. Ce parrain ou marraine présentera son lien avec l’association et les raisons pour lesquelles il ou elle souhaite parrainer le projet.

 

Pour toute question, l’équipe de la Fondation est joignable sur fondation@bouyguestelecom.fr.