Appel à projets pour encourager la création de micro-bibliothèques
Appel à projets du Fonds Asile Migration Intégration
L’appel à projets du Fonds FAMI dans le cadre de la nouvelle programmation européenne 2021-2027 a été publié le 15 février 2022. Les structures souhaitant déposer leurs projets peuvent le faire jusqu’au 15 mai 2022.
L’appel à projets précise que le programme national du FAMI ne sera validé qu’au deuxième trimestre 2022 au plus tôt et que la sélection des appels à projets et les attributions des subventions ne pourront se faire qu’à la suite de cette validation. Il s’agit donc d’un AAP anticipé, décidé par l’autorité de gestion du FAMI en France, la direction générale des étrangers en France (DGEF), afin que l’instruction des dossiers puisse être menée en parallèle du processus règlementaire de validation par la Commission européenne du programme national.
Les trois « objectifs spécifiques » de l’appel à projet sont les suivants :
L’OS 1 se décline en deux mesures, devant bénéficier aux personnes en cours de procédure dans le cadre d’une demande de protection internationale :
L’AAP fournit comme exemples de projets éligibles : l’appui socio-administratif et la prise en charge médico-psychologique ou encore la formation des professionnels.
L’OS 2 se décline aussi en deux mesures, devant bénéficier aux ressortissants de pays tiers : résidant en France de façon régulière et ayant vocation à s’y installer durablement (dont les BPI), victimes de traite des êtres humains, et/ou souhaitant accomplir des démarches pour acquérir le droit de résidence légale dans un Etat membre.
L’AAP fournit notamment en exemple de projets éligibles : la formation linguistiques et aux valeurs citoyennes (en articulation avec le CIR), la mise en réseau des professionnels, les plateformes favorisant des accompagnements spécialisés en articulation avec le déploiement du programme AGIR, des études et projets de recherche, etc.
Et enfin l’OS 3 « Contribuer à la lutte contre la migration irrégulière. Favoriser un retour et une réadmission effectifs, sûrs et dans la dignité. Promouvoir une réintégration initiale et effective dans les pays tiers et y contribuer ».
Les critères d’éligibilité et de sélection des projets, ainsi que les modalités de financement sont détaillés de la page 10 à la page 14 du document de présentation de l’appel à projet, disponible sur le site de la DGEF : https://www.immigration.interieur.gouv.fr/Info-ressources/Fonds-europeens/Les-fonds-europeens-programmation-2021-2027/Appels-a-projets : voir le document « AAP_01-2022-FAMI – Fonds asile migration et intégration (FAMI) – Appels à projets dans le cadre de la programmation 2021-2027 ».
Au sein de la direction générale des étrangers en France (DGEF), la direction de l’intégration et de l’accès à la nationalité (DIAN) est chargée de définir et mettre en œuvre la politique publique d’intégration en France des personnes ressortissantes de pays tiers à l’Union européenne admises au séjour sur le territoire et souhaitant s’y installer durablement.
L’étranger primo-arrivant s’engage dans un parcours d’intégration républicaine qui débute avec la signature du contrat d’intégration républicaine (CIR). L’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) prescrit alors des formations civique et, le cas échéant, linguistique, puis oriente l’étranger signataire du CIR vers les services de proximité. Le CIR s’articule autour d’actions d’accompagnement complémentaires (sociales, professionnelles, linguistiques, …).
Les bénéficiaires de la protection internationale (réfugiés et protégés subsidiaires) s’inscrivent dans ce cadre général et sont également destinataires d’actions spécifiques visant à faciliter leur intégration en prenant en compte leurs vulnérabilités particulières. À cette fin, la délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés (DIAIR) est chargée, en lien avec la DGEF, de mettre en œuvre la Stratégie nationale pour l’accueil et l’intégration des réfugiés.
L’appel à projets national 2022 relatif à l’intégration des étrangers primo-arrivants, dont les bénéficiaires de la protection internationale (BPI), est, dans ce cadre, commun à la DIAN et à la DIAIR. Il est centré sur des actions structurantes, complémentaires aux formations du CIR et d’envergure nationale ou interrégionale. Les actions localisées sur un territoire régional ou infra-régional ont vocation à être portées à l’échelon local.
Les projets présentés devront s’inscrire dans les thématiques suivantes :
Projets permettant la création de liens entre jeunes Français et jeunes étrangers, dont les BPI, dans le cadre du dispositif « Fai’R»
« Fai’R » a pour objectif de soutenir des projets favorisant la mobilisation des jeunes Français de 18 à 30 ans en faveur de l’accueil et l’intégration des étrangers du même âge éligibles, dont les BPI. L’enjeu est de favoriser la rencontre et la création de liens entre ces jeunes.
Projets relatifs au mentorat et au parrainage
Seront examinés les programmes de parrainage ou de mentorat qui organisent, au sein d’une structure encadrante, la mise en relation d’un étranger primo-arrivant avec un résident français souhaitant mobiliser bénévolement son expérience pour favoriser la découverte de la société et de la culture françaises, la maîtrise de la langue, la construction du projet scolaire ou professionnel de la personne qu’il accompagne.
Une attention particulière sera portée aux projets proposant un modèle reproductible au niveau national et coordonné avec les acteurs de l’intégration (OFII, opérateurs du programme AGIR…).
La sélection des dossiers sera effectuée dans le cadre d’un comité de sélection qui se tiendra le 17 mai 2022. Les dossiers complets sont à transmettre avant le 20 mars 2022 à minuit.
Attention : à compter de cette année, le dépôt des dossiers s’effectue exclusivement sur le site Démarches simplifiées, à l’adresse suivante :
→ Vous trouverez ci-dessous, à télécharger en format PDF, la présentation complète de l’appel à projets commun DGEF-DIAIR 2022.
Appel à projet 2022 de la Fondation Bouygues Telecom
Convaincue que ce n’est qu’ensemble que nous adresserons la nécessaire transition environnementale et sociale, la Fondation Bouygues Telecom ouvre son appel à projets pour soutenir des projets où l’engagement citoyen est au cœur et au profit d’un impact social ou environnemental.
Ainsi, des dotations de 5 000 à 15 000 euros récompenseront les projets qui s’appuient sur la mobilisation :
Et/ou
Au sein de ces projets, c’est grâce à leur action que ces citoyen⸱nes engagé⸱es ont un impact positif sur l’environnement ou envers des publics fragiles (protection de la biodiversité animale et/ou végétale, réduction de l’empreinte carbone, répit des aidants, insertion professionnelle, changement de regard vis-à-vis des personnes vulnérables, etc.).
Les dossiers doivent être complétés et soumis avant le 18 mars 2022 sur la plateforme dédiée. Les résultats seront communiqués aux associations courant mai 2022.
FDVA “fonctionnement-innovation” : les appels à projets 2022
Depuis 2018, le FDVA (Fonds pour le développement de la vie associative) est un dispositif financier de l’État qui vient en soutien au développement de la vie associative et se décline selon deux modalités de financement :
Les retours sont attendus avant le 11 mars 2022 pour l’appel à projets de niveau national et aux dates limites indiquées et fixées par chaque département pour l’appel à projets de niveau territorial.
Retrouvez toutes les informations relatives à ce dispositif en cliquant ici
Appel à projets 2022 : soutenir les jeunes en souffrance psychique
La Fondation de France lance son appel à projets 2022 “Soutenir les jeunes en souffrance psychique : Addictions, risques suicidaires, troubles des conduites, alimentaires, émergences des pathologies psychiatriques, psycho-traumatismes…”
A travers cet appel à projets, la Fondation de France entend soutenir les associations et toutes les structures à but non lucratif qui accompagnent les adolescents et les jeunes adultes en souffrance psychique, avec les objectifs suivants :
Vous trouverez l’ensemble des modalités de candidature de l’appel à projets sur le site de la Fondation de France.
Justice pénale : répondez à l’appel à candidatures du programme d’accompagnement Act’ice 2022 !
Les associations Ronalpia et Possible lancent la 3e édition d’Act’ice, programme d’accompagnement à destination des structures qui se lancent ou se développent dans le champ de la justice pénale (favorisant la réinsertion et la prévention de la récidive des personnes condamnées).
Ce programme a pour objectif d’accompagner sur 3 volets principaux :
1/ Se professionnaliser et s’outiller :
> Un accompagnement spécifique pour mieux comprendre le fonctionnement du secteur justice et ses enjeux, renforcer l’accompagnement de ses publics et consolider son projet
2/ Coopérer :
> Des échanges pour développer entre pairs des réponses complémentaires aux besoins des publics accompagnés, des rencontres avec des acteurs publics et privés pour sortir de l’isolement et nouer des collaborations pertinentes et innovantes
3/ Développer sa visibilité et son réseau :
> Des rencontres dédiées avec des mécènes, des parrainages locaux et nationaux par des acteurs de la justice, l’accès aux réseaux de Possible et Ronalpia
En bref, ce programme national, gratuit et de 9 mois (janvier – septembre 2022) s’articule autour :
Pour toute question vous pouvez contacter Alice Tallon, chargée de mission Justice à la FAS : alice.tallon@federationsolidarite.org
Au moment où nos concitoyens reprennent une vie normale et retrouvent les chemins des pratiques culturelles, notamment celui des salles de spectacles, des musées, des parcs de loisirs ou des enceintes sportives, le risque est grand que celles et ceux qui sont victimes d’exclusion ou qui vivent dans la précarité en soient privés une fois de plus. Comment se résigner à cette situation après ce que nous venons de vivre collectivement et alors qu’un nombre croissant de femmes, d’hommes et d’enfants sont relégués dans la pauvreté ou la précarité ?
Depuis de nombreuses années, des associations ont mis en place des dispositifs afin de privilégier une égalité d’accès aux pratiques culturelles, scientifiques, sportives et de loisirs associés à une politique d’accompagnement. Aujourd’hui, avec plus de 9 millions de personnes en situation de pauvreté dans notre pays, et alors même qu’il est établi que l’appartenance sociale et le niveau de vie sont des déterminants des pratiques culturelles, nous ne pouvons accepter de voir se fracturer davantage notre société.
Les artistes, les professionnels de la culture, les producteurs et organisations de spectacles vivants publiques et privées ont été très durement frappés par les conséquences de la pandémie et ces longs mois sans activité ni ressource. Et, malgré cela, pendant cette période, beaucoup d’entre eux ont continué à manifester leur solidarité envers les plus précaires en répondant partout en France aux initiatives des acteurs de la solidarité, de l’éducation populaire et d’associations comme les Petits Débrouillards ou Cultures du Cœur.
Aujourd’hui, les effets combinés de la mise en place de protocoles adaptés et le besoin vital pour les opérateurs culturels d’assurer leurs équilibres, nous font craindre que cette reprise des activités culturelles ne s’accompagne d’une nouvelle fracture aux dépens des plus précaires. En effet, la nécessité de partage de pratiques culturelles pour ces personnes vivant dans les quartiers prioritaires, dans les résidences sociales ou les sans domicile est particulièrement aiguë à l’issue de la période que nous venons de traverser. Il en va de notre responsabilité collective de tout faire pour que chacune et chacun d’entre eux participent et partagent la vie culturelle de notre pays.
Le travail et les évaluations que nous menons depuis des années démontrent que les pratiques culturelles dans leur acception la plus large, y compris les cultures scientifiques et techniques, sportives ou de loisirs constituent un enjeu déterminant de la capacité d’agir, de la participation citoyenne et de la réinsertion de ces personnes. Elles sont un élément déterminant de la reconstruction de notre lien social. C’est également pour nous tous un enjeu vital de cohésion de notre société et de solidarité que nous devons tous garder à l’esprit surtout après la crise sanitaire.
Nous, acteurs de la solidarité, de l’éducation populaire, de la politique de la ville et de la Culture appelons à une prise de conscience citoyenne et institutionnelle.
Nous demandons la mise en œuvre de mesures d’urgence pour que cette reprise des activités culturelles puisse être partagée par les plus fragiles d’entre nous.
En parallèle, nous proposons de conduire dans les semaines qui viennent une grande consultation auprès de nos interlocuteurs : parlementaires, ministères, administrations centrales, associations, membres de la société civile pour que cette reprise des activités culturelles puisse être partagée par toutes et tous.
La Culture est notre bien commun, partagée par tous elle est un puissant levier qui renforce notre cohésion et qui nous permet de faire société.
Aidez-nous dans notre démarche citoyenne et solidaire, soutenez, signez et partagez cet appel !
Gilles Pillet, président de Cultures du Cœur – www.culturesducoeur.org
Pascal Brice, président de la Fédération des Acteurs de la Solidarité – www.federationsolidarite.org
Francis Rol Tanguy, président Les Petits Débrouillards – www.lespetitsdebrouillards.org
Premiers signataires
Ariane MNOUCHKINE – Metteur en scène, Théâtre du Soleil
Bolewa SABOURIN – Danseur / Père au foyer / Co-fondateur de LOBA, LOBA
Charles BERLING – Acteur et directeur de théâtre
Dante DESARTHE – Cinéaste
Dominique ANÉ – Auteur Compositeur Interprète
Emmanuel WALLON – Professeur de sociologie politique, Université Paris Nanterre
Hector OBALK – Critique d’art, Grand-art.online
Jean JOUZEL – Paléoclimatologue, Prix Nobel de la paix
Lilian THURAM – Footballeur, Président de la Fondation Éducation contre le racisme
Michel WIEVIORKA – Sociologue
Philippe MOURRAT – Cadre culturel, Président de Citoyenneté jeunesse 93
Pierre SANTINI – Comédien
Sophia ARAM – Humoriste et comédienne
Présentation
La FAS regroupe 870 associations de solidarité et organismes qui vont vers et accueillent les plus démunis, notamment les acteurs de l’accueil, hébergement et insertion (AHI), du dispositif national d’asile (DNA) et de l’insertion par l’activité économique (IAE).
Parmi ses adhérents, la Fédération compte de nombreux Services Intégrés d’Accueil et d’Orientation (SIAO) et des Centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS). Les SIAO en charge des plateformes, qui assurent la gestion du numéro d’urgence « 115 », ont été créées dans chaque département sous l’autorité du préfet afin d’améliorer l’accueil, l’évaluation, l’orientation et la prise en charge des personnes sans abri ou risquant de l’être. Quant aux CHRS, pouvant être gérés par des associations, ont pour missions d’assurer l’accueil, le logement, l’accompagnement et l’insertion sociale des personnes ou familles connaissant de graves difficultés en vue de les aider à accéder ou à recouvrer leur autonomie personnelle et sociale. Certaines de ces structures développent une activité de maraudes, permettant d’aller au-devant des personnes qui vivent à la rue, en squats ou en bidonvilles, dans une logique d’aller vers, pour leur faire connaître les possibilités d’accompagnement et d’hébergement que ces personnes ne mobilisent pas.
La Fédération propose un projet à destination de ces acteurs, présents en Métropole et dans les territoires ultra-marins, pour soutenir et renforcer cette activité de maraude. Ce projet a été construit avec plusieurs de ces adhérents et il est envisagé une expérimentation sur plusieurs territoires.
Contexte et constats
A l’horizon du tout numérique d’ici 2022, un grand nombre de personnes se trouvent éloignées du numérique (13 millions). La dématérialisation des démarches administratives et la place croissante du numérique dans la société viennent notamment transformer les pratiques et missions des maraudes qui font face à l’évolution des besoins des personnes à la rue. Bien que se trouvant dans une situation d’extrême précarité, les personnes sans-abri ne sont pas pour autant déconnectées du numérique.
L’étude de Solinum constate que 91[1] % des personnes interrogées possèdent un téléphone mobile et 71 % un smartphone. Mais si les taux d’équipement sont élevés, des disparités d’accès et d’usages du numérique s’observent. L’étude montre notamment que plus de la moitié des personnes sans abri ne font jamais leurs démarches administratives en ligne (62%) et que des problématiques inhérentes à leurs conditions de vie viennent compliquer leur accès au numérique. Ces problématiques ont été observées par l’étude nationale Maraudes FAS/FNSS[2], avec 48% des ménages rencontrés ayant un téléphone portable qui expriment des difficultés d’usage dont la recharge du téléphone (pour 32%) et l’obtention d’une connexion ou d’un crédit téléphonique (pour 21%).
Objectifs du projet
Afin de répondre globalement aux besoins des personnes à la rue le projet est pensé pour s’intégrer aux maraudes existantes qui disposent de moyens matériels pour aller vers les personnes sans-abri et de la connaissance du terrain. En appui à cet existant, le projet permettra :
– Les équipes de maraudeurs seront dotés de tablettes avec forfaits 4G.
– Des bornes et des casiers de recharges pour téléphone portable seront mis à la disposition des personnes sans-abri.
Ce projet a vocation à se déployer sur deux ans. L’année en cours constitue la période d’expérimentation du projet auprès de 6 maraudes. La seconde, se tenant en 2022, a pour objet d’essaimer le projet en déployant, à ce titre, 10 maraudes.
A cet effet, la FAS mobilise des acteurs spécialisés du secteur de la médiation numérique, afin de former les maraudes :
Mission et attentes
Il sera attendu des formateurs, dans un premier temps, de :
Dans un second temps, le formateur aura vocation à accompagner la FAS et son réseau dans l’essaimage du projet en 2022 en reconduisant le cycle de formation des maraudeurs.
Il est attendu des formateurs :
La rétribution proposée pour assurer les missions précitées s’élève à 3.000 euros par session de formation de maraude pour chaque formateur (incluant les frais pédagogiques ainsi que ceux de déplacements).
Envoyer un CV, une lettre de motivation et des références à nathalie.crouzet@federationsolidarite.org et sarra.cheklab@federationsolidarite.org.
[1] Précarité Connectée – Les sans-abri et le numérique : équipements, usages et compétences numériques des personnes sans-abri en France en 2018
[2] Étude nationale maraudes et Samu sociaux sur le sans-abrisme du 14 et 15 janvier 2020
Osons ! Considérons que tout le monde est employable et replaçons l’objectif d’emploi durable au cœur de nos pratiques et de nos organisations ! Allons vers l’entreprise et coopérons pour saisir des opportunités et créer des rencontres !
Pourquoi ? Pour que les salariés en transition professionnelle accèdent à un emploi durable de qualité.
C’est l’ambition du programme de formation-action SEVE Emploi, des SIAE qui y sont engagées et des entreprises avec lesquelles elles ont collaboré.
Un entrepreneur est-il forcément un bon employeur ? En quoi la SIAE a de réelles compétences à faire valoir auprès des entreprises ?
Recruter, intégrer, adapter le poste, former : les SIAE le font chaque jour. Pourtant se sont-elles questionnées sur ces opérations quotidiennes ? Sont-elles prêtes à se réinterroger pour pouvoir apporter leurs compétences d’employeur aux entreprises de leur territoire ?
Ces questions ne peuvent pas rester sans réponses : le mercredi 16 juin matin, venez avec nous vous interroger et découvrir comment faire différemment avec la médiation active !
Cette matinée vous propose d’illustrer comment SEVE Emploi opère au sein de la SIAE un changement de logique, de posture face à l’entreprise, et une prise de conscience de l’intérêt réciproque, à la fois de l’entreprise à disposer d’un appui RH et de la SIAE à le structurer et à le proposer sur son territoire.