04 octobre 2024
15 juin 2021
Le plan « 1 jeune, 1 solution », volet « jeunes » du plan de relance prévoyant un certain nombre de mesures ayant vocation à soutenir les jeunes précaires (voir l’article de la FAS relatif au plan jeunes ), se donne notamment pour objectif de permettre l’entrée de 200 000 jeunes en garantie jeunes au cours de l’année 2021. Pour se faire, une enveloppe de 495 millions d’euros est allouée par l’État aux missions locales en 2021.
Au-delà d’une augmentation du volume de parcours DISPONIBLES, plusieurs changements concernant les critères d’éligibilité en matière de non-imposition, de ressources et de durée des parcours en garantie jeunes ont été récemment apportés par le décret du 26 mai 2021 relatif à la garantie jeunes, changements précisés et complétés par la note d’information DGEFP/SDPAE/MAJE du 28 mai 2021 relative à l’instruction du 17 mai 2018 relative à la mise en œuvre du PACEA et de la Garantie jeunes :
Désormais :
Ces évolutions étaient appelées de leurs vœux par de nombreux acteurs qui agissent avec et pour les jeunes en situation de précarité, dont la Fédération des acteurs de la solidarité. Elles sont en effet nécessaires pour fluidifier l’accès et favoriser le maintien des jeunes, notamment lorsqu’ils sont en rupture familiale, dans la garantie jeunes, qui leur assure accompagnement et ressources dans le cadre d’un parcours d’accès à l’emploi.
En parallèle, une évolution en profondeur du dispositif est en cours pour aboutir in fine à la « garantie jeunes universelle », annoncée en début d’année par Elisabeth Borne, Ministre du Travail (voir l’article de la FAS : évolution de la garantie jeunes : vers un droit à une allocation et à un accompagnement pour tous les jeunes qui en ont besoin ?). La Fédération des acteurs de la solidarité a plusieurs fois rencontré la Ministre à ce sujet, afin de partager ses orientations et propositions, en faveur notamment de l’évolution des modalités d’accès des jeunes précaires aux prestations, du développement d’actions d’aller-vers le public, du droit à un accompagnement souple, adaptable et susceptible d’être étendu dans le temps en fonction des besoins de chacun.e… Des annonces gouvernementales relatives à la « garantie jeunes universelle » sont attendues pour la fin du mois de juin.
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
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Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »