10 octobre 2024
22 novembre 2022
Erasmus + est le seul programme de l’Union Européenne qui soutient l’éducation et la formation tout au long de la vie. Ce programme a vu ses crédits augmentés depuis 2021 et peut donc soutenir plus de projets. Avec le dépôt de dossier à partir de février, c’est le bon moment pour vous lancer sur l’écriture d’un projet !
Le mardi 15 novembre, la FAS et Erasmus + Education et Formation (agence nationale basée à Bordeaux) ont organisé une réunion d’information pour présenter ce dispositif au réseau et montrer comment les associations peuvent concrètement s’en saisir. La présentation de la réunion est accessible en téléchargeant ce document.
Erasmus + s’adresse notamment au secteur du social et de l’économie social et solidaire, et à ces acteurs : salarié.e.s, bénévoles, administateur.rice.s, dirigeant.e.s…mais aussi aux personnes accompagnées !
Les structures de la FAS ont complètement accès à ces financements et vont principalement être intéressées par le secteur Education des adultes : un programme pour financer des actions de formation « non-formel » (ou encore d’éducation populaire) qui permettent, via l’apprentissage et l’acquisition de connaissance grâce à l’échange avec d’autres acteurs européens, d’enrichir ses pratiques, de prendre de la distance avec le quotidien, de changer d’échelle, de s’inspirer entre partenaires européens ou d’apporter une réponse commune à une problématique partagée.
Précision : Les structures de la FAS travaillant avec un public jeunes (13-30 ans) se tourneront en revanche vers l’agence Erasmus + Jeunesse et Sport basée à Paris.
Les projets peuvent prendre différentes formes et peuvent être plus ou moins longs : voyages d’études, séminaires, stages etc., en lien avec 33 pays éligibles (27 pays de l’Union Européenne et d’autres).
Ils peuvent impliquer tous les acteurs qui gravitent autour de l’organisme : les professionnels, les personnes accompagnées, les bénévoles, les élus…
Ces projets peuvent être des projets de mobilités – action clé 1 du programme
Ces projets peuvent être des projets de coopération – action clé 2 du programme
Erasmus + finance ces types de projets en participant aux frais de voyage et de séjour, aux frais d’organisation, aux frais de préparation et aux frais liés à la création de livrable.
Un exemple : récemment, La Mie de Pain, accueil de jour à Paris, a monté un projet de mobilité avec un partenaire en Belgique, le Relais Social de Liège. Le projet a consisté en un voyage de 4 jours avec un séminaire et des rencontres de nombreux acteurs liégeois, et a permis de découvrir d’autres pratiques professionnels, d’autres manières d’accompagner les publics, d’inspirer les professionnels et bénévoles impliqués et de porter un regard neuf et décentré sur leurs propres pratiques.
Le projet a été financé à hauteur de 13 000 euros. La réalisation du dossier a pu prendre du temps car le formulaire de dépôt est très complet, mais cela permet de poser une « base saine » pour le futur projet. Il est possible de se faire aider par un bénévole ou du mécénat de compétence.
Vous êtes intéressé.e.s pour mener des actions de formation informelle via la rencontre avec des partenaires européens pour vos équipes ou les personnes que vous accompagnez ?
Sites ressources :
Article présentant Erasmus + sur le site de la FAS
Site de l’agence Erasmus + Education et Formation, basée à Paris
Dates à retenir :
Personnes ressources :
Tiphaine.guerin@federationsolidarite.org
10 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.