07 octobre 2024
4 février 2020
Accompagnement des personnes, suivi RH, etc. associations et organismes vous collectez des données à caractère personnel que vous conservez dans des fichiers papiers et/ou des fichiers informatisés. En collectant ces données, vous mettez en place un “traitement de données à caractère personnel”.
Le Règlement général sur la protection des données (RGPD) impose de nouvelles obligations à tous les responsables de traitement.
Parmi ces obligations, figure celle de pouvoir justifier sur quelle « base légale » le traitement est réalisé. QUESACO ??
A l’ère du numérique, il est de plus en plus tentant de vouloir collecter un maximum de données à caractère personnel pour gagner en efficacité dans les structures. Face à ces volontés de performance, le RGPD impose toutefois des règles protectrices pour les personnes destinées à garantir le respect de leur vie privée et des libertés publiques.
Le responsable d’un traitement de données personnelles doit donc, dans tous les cas, pouvoir justifier d’une « base légale », qui l’autorise à collecter des données personnelles. Il ne peut pas mettre en place un traitement de données comme il l’entend.
La CNIL est venue clarifier dans une page dédiée (https://www.cnil.fr/fr/les-bases-legales) chacune des bases légales possibles, à savoir :
Elle rappelle également des principes essentiels :
Avant tout traitement, la CNIL propose 3 questions à se poser pour déterminer la base légale de son traitement :
1. Les textes imposent-ils ou excluent-ils une base légale spécifique ?
Par exemple, si le traitement est imposé à l’organisme par la loi, la base juridique « obligation légale » doit être privilégiée.
2. Quel est le contexte général de mise en œuvre du traitement ? Par exemple, le type d’organisme, le secteur d’activité, l’existence d’une base contractuelle.
3. Les conditions propres à la base légales sont-elles remplies ?
Par exemple, le consentement des personnes doit être « libre, spécifique, éclairé et univoque » pour être valablement recueilli et constituer dès lors la base légale du traitement. Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, le consentement ne peut pas constituer la base légale du traitement.
Afin de comprendre concrètement de quoi il s’agit nous publierons prochainement une note qui décrypte l’article de la CNIL.
07 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.