26 avril 2024
21 février 2022
Le Collectif Les Morts de la Rue (CMDR) souhaite explorer les actions mises en œuvre lors de la survenue d’un décès d’une personne sans domicile par les différents acteurs de l’Accueil, Hébergement et Insertion (AHI), les établissements sociaux et médico-sociaux et autres structures impliquées auprès de ce public.
Cette enquête vise à identifier les pratiques et besoins en termes d’accompagnement face au décès, dans la recherche de la famille ou de proches. Elle vise également à explorer le parcours de l’information concernant un décès dans les structures de l’AHI.
A qui s’adresse cette enquête ?
Elle s’adresse à toute personne, bénévole ou salarié, quel que soit le poste, intervenant directement dans la prise en charge et l’accompagnement des personnes sans domicile. Vous pouvez y participer que vous ayez été confrontés ou non au décès d’une personne sans domicile.
Le temps de réponse au questionnaire est inférieur à 10 minutes.
Répondez à l’enquête : Enquête RECOL (dragnsurvey.com)
Les données de cette enquête seront anonymisées. Les résultats obtenus seront diffusés aux participants et via les canaux de diffusion utilisés. Ces résultats contribueront à l’adaptation des actions mises en œuvre par le Collectif les Morts de la Rue.
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Pour toute question relative à cette enquête, vous pouvez joindre, Julien Ambard : epidemio.cmdr@orange.fr – 06 01 88 81 63
Pour toute question relative au CMDR, vous pouvez écrire à l’adresse suivante: mortsdelarue@wanadoo.fr
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Quelques mots sur les actions du Collectif Les Morts de la Rue
Le CMDR est une association de loi 1901, créée en 2002 et basée à Paris. Il regroupe une cinquantaine d’acteurs associatifs tous en lien permanent avec les personnes en situation de précarité.
Le CMDR se donne pour mission de faire savoir que vivre à la rue mène à une mort prématurée, de dénoncer les causes souvent violentes de ces morts, de veiller à la dignité des funérailles et enfin de soutenir et d’accompagner les proches et les professionnel.les en deuil.
26 avril 2024
24 avril 2024
18 avril 2024
Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
🔎Zoom sur les premiers éléments du programme 👇
👉 Informations et inscriptions :
https://evenement.federationsolidarite.org/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=flash-info-journees-du-travail-social-24-et-25-septembre-2024-les-inscriptions-sont-ouvertes-756
Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la...
TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
www.lemonde.fr
Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
Rdv les 24 et 25 septembre 2024 à Nancy.
➡️Information & inscriptions ici :
Journées du Travail Social
Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
evenement.federationsolidarite.org
🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.