04 octobre 2024
10 octobre 2023
Les prochaines Journées Nationales Prison auront lieu du 20 au 24 novembre, à l’initiative du Groupe National de Concertation Prison (GNCP), dont la Fédération des Acteurs de la Solidarité est membre, et des Groupes Locaux de Concertation Prison (GLCP). Le collectif GNCP a pour objectif de faire connaitre le secteur prison/justice, milieu ouvert et fermé, les actions de terrain, le vécu et le parcours des personnes et de ceux qui les accompagnent. La thématique retenue pour cette année est : « Sortie de prison : Comment réussir l’après ? ».
Les Journées Nationales Prison visent à sensibiliser le grand public aux thématiques carcérales à travers de nombreuses manifestations et événements déployés au sein des régions. L’objectif est de faire évoluer le regard de la société dans son ensemble sur les personnes sortantes de détention, et que chacun et chacune puisse reconsidérer ses préjugés et a priori concernant la prison et les personnes qui y ont été incarcérées. Divers évènements organisés par des équipes de terrain permettront ainsi de sensibiliser sur le sujet de la sortie de détention ; en mettant en exergue le droit des personnes anciennement détenues de faire désormais partie intégrante de la société.
“Faire débat sur un thème comme la prison, c’est avoir le courage de dire que ce champ n’est pas “hors-champ” : que les personnes en prison ne sont pas hors du monde et que la relégation sociale est d’un autre temps, c’est dire que la grande chaine de l’humanité n’exclut personne, qu’il y a une place à y prendre pour chacun. Les membres du GNCP, les bénévoles et les professionnel.les souhaitent permettre aux personnes détenues de réussir l’après peine, l’après incarcération, l’après la privation de libertés ; de réussir la réinsertion des personnes anciennement détenues par l’accompagnement à tous les droits, par de la chaleur humaine, des rires et de la joie.”
Edito Groupe National de Concertation Prison (GNCP)
Ce changement de regard participera alors à une meilleure réinsertion dans la société des personnes ayant un parcours de détention, la réinsertion sociale étant fondamentale pour le vivre ensemble en société, le bien être des personnes concernées, et pour une meilleure prévention de la récidive.
Si vous souhaitez avoir des informations sur les évènements qui se déroulent dans votre région, recevoir le kit de communication lié à ces événements, vous pouvez contacter Margaux SCHWINDT, chargée de mission Jeune/Justice margaux.schwindt@federationsolidarite.org et Nicolas Martel de la FARAPEJ, nicolas.martel@farapej.fr
Pour les associations qui réalisent des actions, nous vous invitons à les inscrire via ce lien : https://forms.gle/a1gHAykn89jaScLw6
Margaux SCHWINDT
Chargée de mission Jeune/Justice
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »