10 octobre 2024
25 mai 2023
Près de 112 volontaires ont effectué tout ou partie leur service civique en 2022. Curieux de découvrir les métiers du social, Valentin Bargibant fut l’un d’entre eux. Pendant sept mois, il était chargé du développement des ateliers partagés du tiers-lieu parisien Les cinq toits géré par AURORE. Il nous raconte pourquoi son expérience lui a donné envie de s’engager.
Comment as-tu postulé pour devenir volontaire du service civique ?
Dans le cadre de mon Master en gestion de projet de l’Economie Sociale et Solidaire à Paris VIII, je devais faire un stage de fin d’étude ou un service civique, j’ai préféré postuler auprès de l’association Aurore via le site de l’Auberge de la solidarité.
Comment s’est passé le service civique ?
De septembre à mars, après ou avant mes cours, j’ai travaillé à l’organisation des ateliers partagés et au planning des activités couture, métal, bois et réparation qui ont démarré juste après mon départ. J’ai contacté des artistes et des artisans pour leur proposer de faire ces ateliers avec les personnes hébergées aux Cinq Toits et les habitant.es du quartier. J’ai surtout apprécié le contact avec les résident.es car c’était ce que j’étais venu chercher. C’était un peu plus compliqué les artisans car l’idée était très nouvelle pour eux. Mon encadrante était débordée de travail donc je me suis un peu auto-géré mais c’était très enrichissant.
Est-ce que ton expérience t’a aidé pour trouver un emploi à la fin de tes études ?
Après le service civique j’ai travaillé pour le fonds d’investissement Make.org et ensuite j’ai été recruté chez Cités-Caritas comme Chef de projet transition du modèle alimentaire. Je me suis servi de mon expérience chez Aurore pour décrocher le poste.
Tu es devenu toi-même encadrant de volontaires en service civique chez Cité-Caritas France, comment s’est passé cette expérience ?
J’ai dû recruter trois personnes en service civique pour organiser des ateliers cuisine dans les structures de l’association. Ça m’a appris à quel point il était difficile de gérer les ressources humaines. En tant qu’encadrant c’était compliqué de devoir gérer des jeunes sans expérience alors que le projet lui-même n’était pas totalement finalisé.
Recommande-tu à des jeunes de faire un service civique ?
Oui car c’est une super expérience pour tester un secteur qui nous plait. Mais attention au choix de la structure. Il faut s’assurer que le tutorat pourra se faire dans de bonnes conditions sinon on peut se retrouver un peu tout seul.
10 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.