10 octobre 2024
5 avril 2022
C’est le lancement du dispositif MonPsy ce mardi 5 avril, en quoi cela consiste ?
Le dispositif MonPsy permet la prise en charge par l’Assurance Maladie de séances d’accompagnement psychologiques réalisées par un psychologue conventionné dans le cadre du parcours de soins coordonné.
Qui est concerné par le dispositif ?
Toutes les personnes dès l’âge de 3 ans en souffrance psychique dite d’intensité légère à modérée.
L’accès au dispositif :
Pour bénéficier de la prise en charge par l’assurance maladie de cet accompagnement, les personnes doivent être orientées (avec un courrier d’adressage) par un médecin généraliste vers un psychologue conventionné par l’assurance maladie afin de pouvoir bénéficier d’un entretien d’évaluation qui pourra permettre, en fonction des besoins, un accompagnement de 7 séances de suivi psychologique. Le remboursement par l’assurance maladie est de 60%, et celui par les complémentaires/mutuelles est de 40%.
L’annuaire des psychologues conventionnés est consultable ici.
Les critères d’inclusion :
Pour les enfants et les adolescents : être dans une situation de mal être et/ ou de souffrance psychique.
Pour les adultes de 18 ans et plus : avoir un trouble anxieux d’intensité légère ou modérée ; un trouble dépressif d’intensité légère à modéré ; un mésusage tabac, d’alcool, ou de cannabis (hors dépendance ; un trouble du comportement alimentaire sans critère de gravité).
Les critères de non-inclusion et qui nécessite des prises en charge spécialisées :
Pour les enfants et adolescents : être âgés de moins de 3 ans ; avoir besoin d‘emblée d’un avis spécialisé sur les risques suicidaires, les formes sévères de troubles anxieux ou dépressifs, les troubles du comportement alimentaire avec signes de gravité, les situations de retrait ou d’inhibition majeurs, les troubles neuro-développementaux, les situations de dépendances à des substances psychoactives, les troubles externalisés sévères et les enfants et adolescents actuellement en cours de prise en charge en pédopsychiatrie ou psychiatrie ou en ALD pour motif psychiatrique.
Pour les adultes de 18 ans et plus : avoir besoin d‘emblée d’un avis spécialisé sur les risques suicidaires, les formes sévères de troubles dépressifs ou anxieux, les troubles du comportement alimentaire avec signes de gravité, les troubles neuro-développementaux sévère, les antécédents psychiatriques sévères dans les 3 ans, sur toutes les situations de dépendance à des substances psychoactives et les patients actuellement en ALD ou en invalidité pour motif psychiatrique ou en arrêt de travail de plus de 6 mois pour un motif psychiatrique (ou dans les 2 ans).
Le tiers payant (l’exonération d’avance de frais) s’applique obligatoirement pour les personnes bénéficiaires de la Complémentaire Santé Solidaire (C2S), les personnes bénéficiaires de l’Aide Médicale d’État (AME), pour les personnes en Affection de Longue Durée (ALD) en lien avec les soins prodigués, les soins en lien avec une maternité (à partir du 6ème de grossesse), et pour des soins en lien avec un accident du travail ou une maladie professionnelle.
Pour toutes les informations concernant ce dispositif, le ministère des solidarités et de la santé a mis en ligne un site dédié accessible ici, y sont disponibles :
Pour toutes questions vous pouvez contacter Hugo Si Hassen, chargé de mission santé à la Fédération des acteurs de la solidarité :
Hugo.sihassen@federationsolidarite.org
10 octobre 2024
07 octobre 2024
04 octobre 2024
📢La lutte contre la pauvreté : Un investissement social payant !
Retrouvez l'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE dont la FAS fait partie ici :
La lutte contre la pauvreté : Un investissement social payant !
Dans un contexte où la priorité de lutte contre la pauvreté se heurte régulièrement aux objectifs de réduction...
www.alerte-exclusions.fr
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »