10 octobre 2024
11 janvier 2016
Initiée par un décret du 1er octobre 2013, l’expérimentation de la garantie jeunes a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2017 par un décret du 30 décembre 2015. Ce décret précise également les modalités d’articulation de la garantie jeunes, tant du point de vue de l’allocation que de l’accompagnement, avec le service civique (si le jeune effectue une mission de service civique pendant la durée de son contrat garantie jeunes, celui est renouvelé automatiquement) et la nouvelle prime d’activité.
L’expérimentation de la garantie jeunes a commencé en 2013 suite au plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté, sur quelques territoires pilotes. Il était prévu une généralisation progressive à l’ensemble du territoire d’ici 2017 pour atteindre 100 000 jeunes (cumulé depuis 2013). Fin 2015, 72 départements et 273 missions locales étaient engagés dans la garantie jeunes pour toucher en principe 50 000 jeunes.
Afin d’accélérer la montée en charge du dispositif, la feuille de route de la conférence sociale pour l’emploi du 19 octobre 2015 a fixé une mise en place de la garantie jeunes sur tous les territoires volontaires par un appel à candidature lancé auprès des conseils départementaux. L’objectif fixé étant d’atteindre 100 000 jeunes en garantie jeunes dès fin 2016. Cet appel mentionne l’importance de la mobilisation de tous les acteurs locaux y compris des associations de solidarité.
Par ailleurs, des évaluations sont en cours. Elles sont menées par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) sous le pilotage d’un conseil scientifique. Ces évaluations doivent permettre d’évaluer l’impact de la garantie jeunes sur les trajectoires de jeunes qui en bénéficient et les partenariats mis en place sur les territoires.
Lors du lancement de l’expérimentions en 2013, la FNARS a souhaité que ses adhérents soient associés aux différentes instances de pilotage et commissions territoriales de sélection. Les objectifs sont multiples :
– pouvoir influer sur le choix des jeunes qui entreront en garantie jeunes et s’assurer que ce sont bien les jeunes les plus en difficulté qui en bénéficient ;
– pouvoir influer sur les partenariats à mettre en place au niveau local avec les associations de solidarité notamment dans le cadre d’une articulation de l’accompagnement proposé ;
– pouvoir capitaliser de l’information et la faire remonter aux délégations régionales FNARS et au siège national afin de renforcer notre expertise et notre force de lobbying au sein de la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle et du comité de pilotage de la garantie jeunes.
10 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
📢La lutte contre la pauvreté : Un investissement social payant !
Retrouvez l'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE dont la FAS fait partie ici :
La lutte contre la pauvreté : Un investissement social payant !
Dans un contexte où la priorité de lutte contre la pauvreté se heurte régulièrement aux objectifs de réduction...
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📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
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On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »