04 octobre 2024
28 mars 2017
Après plus de trois années d’expérimentation, la garantie jeunes est généralisée depuis le 1er janvier 2017 à l’ensemble du territoire. La loi du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, dite loi Travail ou loi El Khomri a prévu la création du parcours contractualisé d’accompagnement vers l’emploi et l’autonomie (PACEA).
Ce PACEA est le nouveau cadre contractuel unique de l’accompagnement des jeunes par les missions locales accessible à tous jeunes de 16 à 25 ans. Un diagnostic est réalisé par le conseiller de la mission locale dès l’entrée dans le PACEA afin de contractualiser avec le jeune des objectifs en vue de son insertion professionnelle. Ce PACEA a une durée maximale de 24 mois et peut faire l’objet d’une indemnité interstitielle mensuelle d’un montant maximum équivalent au RSA et ne dépassant pas un montant annuel équivalent à trois fois le RSA.
La garantie jeunes est la modalité d’accompagnement la plus intensive au sein de ce PACEA et s’adresse à tous les jeunes NEET (ni en emploi, ni en formation ni scolarisés) âgés de 16 ans à désormais 25 ans dont les ressources sont inférieures au montant du RSA. Il s’agit là encore d’une contractualisation entre la mission locale et le jeune qui s’engage à remplir des objectifs fixés avec son conseiller. D’une durée initiale d’un an, le contrat peut être renouvelé jusqu’à 6 mois. L’engagement du jeune dans la garantie jeunes lui permet de bénéficier d’une allocation mensuelle d’un montant équivalent à celui du RSA.
Contrairement à la phase d’expérimentation, les décisions d’admission appartiennent aux missions locales. Une commission locale présidée par le représentant de l’Etat dans le département et réunissant les acteurs impliqués dans l’insertion sociale et professionnelle des jeunes sera chargée de :
La Fédération des acteurs de la solidarité participent enfin au comité stratégique de la garantie jeunes piloté par la DGEFP et appuiera les recommandations, issues des évaluations, de travailler sur le repérage des jeunes pour favoriser l’accès à la garantie jeunes et le coordination des acteurs sur els territoires.
Télécharger le décret du 23 décembre 2016 relatif au PACEA et à la garantie jeunes…
Télécharger l’instruction du 19 janvier 2017 relative au PACEA et à la garantie jeunes…
Télécharger le guide relatif à la mise en œuvre du PACEA…
Télécharger le guide relatif à la mise en œuvre de la garantie jeunes…
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
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On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.