08 octobre 2024
3 mai 2013
La FNARS compte sur votre participation à l’élaboration d’un recueil de bonnes pratiques d’accueil et d’accompagnement dans le réseau des étrangers en situation administrative précaire, afin d’améliorer leur prise en charge et par là même le respect effectif du principe d’accueil inconditionnel.
La FNARS, en fédérant plus de 860 associations de lutte contre l’exclusion, défend le principe d’accueil inconditionnel. Face au constat de places insuffisantes et d’une politique migratoire de plus en plus stricte à l’égard des migrants, ce principe devient difficile à appliquer par les associations hébergeant et logeant les personnes en situation d’exclusion. Les étrangers en situation administrative bloquée ou précaire du fait du peu d’accès aux droits dont ils disposent sont souvent exclus des dispositifs alors que toute personne en situation de détresse médicale, psychique et sociale doit pouvoir accéder à un hébergement. Un accompagnement doit pouvoir leur être proposé, notamment envers les demandeurs d’asile qui ne trouvent pas forcément toujours de places en CADA leur permettant de mettre toutes leurs chances de leur coté quant à leur demande de protection.
La FNARS a engagé un travail de réflexion en vue d’un positionnement politique quant à l’accueil et l’accompagnement des migrants en situation administrative précaire dans le réseau. Cette appellation recouvre une variété de publics : les demandeurs d’asile, les déboutés, les personnes en situation irrégulières, les ressortissants communautaires vivant en squatt et bidonvilles…
Pour ce faire, des journées en régions vont être organisées, afin de recueillir les freins et les difficultés rencontrées dans l’accueil et l’accompagnement de ce public, les bonnes pratiques existantes ainsi que des préconisations pour une meilleure prise en charge au sein des associations de lutte contre les exclusions.
Nous avons besoin pour cela de recueillir un maximum d’éléments sur les pratiques des associations quant à l’accueil de ces personnes pour que leurs droits, même précaires, soient respectés. Des pistes de propositions, préconisations afin d’améliorer l’accueil et l’accompagnement de ce public sont également indispensables à la réflexion.
L’objectif est donc de repérer et de diffuser ces expériences d’accueil et d’accompagnement pour mettre en évidence ce qui parait conforme au principe d’accueil digne et inconditionnel et aux valeurs de la FNARS.
Ces expériences pourront figurer dans un recueil final d’expériences afin de valoriser ce qui se fait dans le réseau mais ne seront diffusées ou publiées qu’avec l’accord de la structure qui en est à l’initiative. Elles serviront également à élaborer les recommandations politiques.
Nous comptons sur votre participation pour nous faire part des bonnes pratiques d’accueil et d’accompagnement de ce public dans vos structures afin d’améliorer leur prise en charge.
Vous trouverez donc ci-joint une fiche de recueil d’expériences qui est destinée à tous les adhérents proposant un accueil et un accompagnement digne pour ces personnes. Ce document est à renvoyer par la suite par mail à :
08 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »