16 avril 2024
2 février 2016
Afin de réduire le nombre de migrants vivant dans le campement de Calais et de permettre à ces personnes de réfléchir à la suite de leur parcours migratoire, les ministres de l’Intérieur et du Logement ont encadré, dans une note du 9 novembre 2015, la mise à l’abri des migrants en provenance de ces territoires dans des Centres d’accueil et d’orientation (CAO).
Le 7 décembre 2015, le gouvernement indiquait que 1 450 migrants avaient bénéficié d’une orientation dans 65 centres. Il encourageait, dans ce courrier, les préfets à orienter ces personnes vers d’autres dispositifs d’hébergement pour demandeurs d’asile ou d’hébergement d’urgence, les CAO fermant progressivement à partir de la fin de la trêve hivernale.
Dans ce contexte, la FNARS propose d’entamer un état des lieux de la mise en œuvre et du fonctionnement de ces centres. La FNARS cherche à observer le volume et le type d’accueil fournit par les CAO ainsi que les difficultés d’accompagnement, de coordination, et d’orientation vers la sortie que peuvent rencontrer les associations porteuses de ces centres.
Ces éléments permettront à la FNARS, si des dysfonctionnements apparaissent, d’être en mesure d’interpeller la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (DIHAL), la Direction générale des étrangers en France (DGEF), l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) et les ministères concernés, et ce, notamment avant la fin de la trêve hivernale.
Votre participation est donc déterminante pour nous aider à faire évoluer ce dispositif conformément aux attentes des associations gestionnaires et aux besoins des personnes accueillies.
Vous trouverez ce questionnaire sur ce lien :
http://observatoiresolidarite.org/enquetes/index.php/838286?lang=fr
Cette enquête, composée de 35 questions, est destinée aux organismes porteurs de CAO, adhérents ou non adhérents à la FNARS. N’hésitez pas à le diffuser autour de vous.
La date limite de réponse au questionnaire est fixée au 8 février 2016.
Pour toute question, vous pouvez contacter :
Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
🔎Zoom sur les premiers éléments du programme 👇
👉 Informations et inscriptions :
https://evenement.federationsolidarite.org/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=flash-info-journees-du-travail-social-24-et-25-septembre-2024-les-inscriptions-sont-ouvertes-756
Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la...
TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
www.lemonde.fr
Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
Rdv les 24 et 25 septembre 2024 à Nancy.
➡️Information & inscriptions ici :
Journées du Travail Social
Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
evenement.federationsolidarite.org
🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.