16 avril 2024
25 novembre 2019
Le Collectif des Morts de la Rue (CMDR) vient de publier son enquête annuelle “Dénombrer et Décrire”. Elle porte sur la mortalité des personnes SDF en 2018.
En 2018, 612 décès de personnes SDF et 71 décès de personnes anciennement à la rue ont été signalés.
87% des personnes SDF décédées en 2018 sont des hommes, les femmes représentent 9% et dans 4% des cas, le genre est inconnu.
L’âge moyen (somme des âges divisée par le nombre d’individus) des personnes SDF décédées et signalées au CMDR en 2018 est de 48,7 ans (de 0 à 87 ans). L’âge médian (âge auquel 50% des décès sont survenus), légèrement supérieur, s’élève à 51 ans. L’espérance de vie dans la population générale en France est de 82,18 ans.
L’enquête de 2019 fait un focus sur les 280 décès de femmes SDF signalés entre 2013 et 2018.
Le signalement des décès par les associations, les médias, les particuliers et quelques partenaires institutionnels sont les seules sources de données actuellement disponibles.
Ainsi en 2018, on répertorie les sources suivantes : les associations (31%), les partenaires institutionnels (27%), les médias (25%), les hôpitaux (10%) et les particuliers (7%).
Il est important que tous les adhérents de la Fédération contribuent au signalement des décès, qu’ils surviennent en structures d’hébergement/logement ou à la rue, pour rendre visible les décès de ces personnes qui ne doivent pas tomber dans l’oubli.
A cet effet, vous pouvez télécharger la fiche de signalement en cliquant ici.
Un hommage sera rendu au cours du mois de mars aux personnes sans domicile décédées en 2019. La date de cet hommage vous sera communiquée ultérieurement.
Nous accueillons également toutes les bonnes volontés afin de renforcer notre équipe de bénévoles dans la réalisation de l’étude « Dénombrer et Décrire » (voir notre offre).
16 avril 2024
11 avril 2024
09 avril 2024
Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
🔎Zoom sur les premiers éléments du programme 👇
👉 Informations et inscriptions :
https://evenement.federationsolidarite.org/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=flash-info-journees-du-travail-social-24-et-25-septembre-2024-les-inscriptions-sont-ouvertes-756
Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la...
TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
www.lemonde.fr
Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
Rdv les 24 et 25 septembre 2024 à Nancy.
➡️Information & inscriptions ici :
Journées du Travail Social
Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
evenement.federationsolidarite.org
🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.