08 octobre 2024
18 mai 2021
Les gestionnaires de centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) doivent conclure d’ici le 1er janvier 2023 un Contrat Pluriannuel d’Objectifs et de Moyens (CPOM), en application de l’article 125 de la loi ELAN. La campagne de contractualisation, retardée par la crise sanitaire, se poursuit actuellement dans des conditions non-satisfaisantes. Ce contexte amène la Fédération à demander une suspension des négociations engagées et à lancer une enquête pour mieux comprendre les problématiques rencontrées par les structures signataires de CPOM.
Une campagne de contractualisation à marche forcée et non satisfaisante
Suite aux alertes et aux retours des adhérents sur les premières négociations des CPOM, la Fédération, avec d’autres têtes de réseau et associations, a interpellé l’État dans un courrier en date du 12 mars 2021 puis l’a de nouveau saisi le 7 mai 2021. Au vu des risques importants et durables pour la qualité de l’offre d’hébergement et d’insertion courus actuellement, la Fédération appelle à une suspension des négociations en cours entre les services de l’État et les associations gestionnaires ainsi qu’à une reprise de la concertation sur les modalités de mise en œuvre de la campagne actuelle.
Un questionnaire sur le déploiement des CPOM pour renforcer le plaidoyer de la Fédération et accompagner ses adhérents
Afin d’aller plus loin dans la compréhension et l’analyse des dysfonctionnements existants, la Fédération lance une enquête sur les modalités de contractualisation des CPOM CHRS. Le questionnaire, conçu en lien avec les adhérents, doit permettre de recueillir davantage de remontées de terrain sur le déploiement de la contractualisation et ses conséquences pour les structures concernées.
Ce questionnaire s’adresse uniquement aux structures ayant parmi leurs établissements au moins un CHRS. Il est destiné aux personnes dont les fonctions les amènent à s’impliquer dans l’élaboration et la mise en œuvre du CPOM pour leur structure.
Pour toute question relative au questionnaire, qui restera en ligne jusqu’au 30 juin 2021 vous pouvez contacter Tiphaine Vanlemmens, chargée de mission Hébergement à la Fédération : tiphaine.vanlemmens@federationsolidarite.org
En parallèle, la Fédération invite ses adhérents à remonter toutes les questions ou les difficultés qu’ils rencontrent dans leurs négociations en cours. Par ailleurs, afin d’accompagner les adhérents engagés dans des dialogues de gestion et de contractualisation, la Fédération publie le décryptage actualisé du cahier des charges CPOM CHRS, contenant nos revendications les plus récentes.
08 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »