10 octobre 2024
4 mai 2021
Dans le cadre du Grenelle contre les violences conjugales, l’État s’était engagé à créer 1000 places d’hébergement et de logement temporaire pour les femmes victimes de violences en 2020, et renforcer cet effort avec la création de 1000 places supplémentaires en 2021.
C’est chose faite, 1000 nouvelles places pour 2021 compléteront enfin les 6700 places déjà existantes financées sur le programme 177 « hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables » dont celles créées en 2020.
Nous ne pouvons que nous féliciter, suite aux nombreuses interpellations conjointes de la FAS, la FNSF et de la Fondation des Femmes, que nos préconisations aient été entendues. Cliquez ici pour télécharger le courrier des associations au Premier ministre.
Ces nouvelles places se composeront de 535 places d’hébergement financées sur les crédits d’hébergement d’urgence et de 465 places financées par l’allocation pour le logement temporaire (ALT 1). Celles-ci seront exclusivement crées en structure collective non mixte, en appartements diffus ou dans des dispositifs comparables de types appart’hôtels. Conformément aux demandes de la fédération, les nuitées hôtelières ne seront pas mobilisées dans le cadre de ce dispositif.
De plus, le gouvernement s’engage à revaloriser le financement des 535 places d’hébergement ; elles seront financées à hauteur de 37 euros par jour en moyenne en Ile-de France et en Outre-Mer (au lieu de 35 euros l’année dernière), et de 33 euros par jour sur le reste du territoire (au lieu de 25 euros l’an passé). Concernant les 465 places ALT, celles-ci seront financées à hauteur de 20 euros au lieu de 11 euros.
Ces places seront déployées par région, en fonction des besoins remontés au niveau régional et s’inscriront dans un réseau territorial d’acteurs et de dispositifs mobilisés dans la lutte contre les violences au sein du couple. Lorsque les femmes victimes de violences sont accompagnées de leurs enfants, l’État s’engage à prendre en compte leurs besoins et à construire des partenariats avec les services départementaux de protection de l’enfance ainsi que les réseaux de santé en périnatalité.
Les Directions Régionales de l’Économie, de l’Emploi et de l’Insertion, en lien avec les Délégués Régionaux pour le Droit des Femmes, prioriseront les demandes et feront remonter les projets au niveau national avant le 15 juin. Les premières places pourront ouvrir mi-juillet, un délai supplémentaire pourra être accordé en fonction des spécificités territoriales
Ce dispositif fera l’objet d’un comité de suivi national, dont le premier aura lieu le 26 mai 2021, concernant l’hébergement et le logement des femmes victimes de violences animé à la fois par la DGCS et la DIHAL, et réunira les principales associations et gestionnaires ainsi que les services de l’État.
En vue de la création de ces 1000 nouvelles places, ce document de cadrage fera l’objet de déclinaisons locales. Les services de l’État veilleront à adapter ces orientations au regard des besoins identifiés localement.
10 octobre 2024
08 octobre 2024
07 octobre 2024
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.