07 octobre 2024
3 juin 2024
Le 17 avril dernier a eu lieu la première conférence territoriale de la concertation nationale pour le droit à l’emploi, portée par 17 structures nationales engagées pour l’emploi et la solidarité, dont la FAS. Pour rappel, l’objet de cette concertation est de coconstruire une loi qui permettra l’accès effectif de toute personne volontaire à un emploi digne.
Ainsi, 250 personnes venues de Normandie, Bretagne, Centre-Val de Loire et des Pays de la Loire se sont retrouvées à Laval pour une journée d’échanges et d’ateliers. En matinée, des débats se sont tenus en plénière sur les sujets des financements du droit à l’emploi, de l’adaptation de l’emploi à la diversité humaine, du cadre contractuel pour le droit à l’emploi et des freins périphériques. L’après-midi, les participant.e.s étaient réparti.e.s en ateliers sur la privation durable d’emploi, les entreprises de lutte contre la privation d’emploi, la gouvernance du droit à l’emploi aux niveaux territorial et national.
La FAS y était représentée par des salarié.e.s et adhérent.e.s, aux côtés de Coorace, Emmaüs et ATD Quart Monde. Maïté Fernandez, Déléguée Régionale de la FAS Pays de la Loire, a notamment animé l’atelier sur les entreprises de lutte contre la privation d’emploi. De nombreuses personnes concernées par la privation durable d’emploi étaient présentes, salariées aujourd’hui d’entreprises à but d’emploi. En outre, un accent fut mis sur la notion d’employeurabilité des entreprises. L’occasion de rappeler le rôle des entreprises de droit commun dans l’accès à l’emploi digne et durable, comme cela est notamment porté dans le cadre du programme SEVE Emploi.
Les prochaines conférences territoriales auront lieu à Lyon le 6 juin pour les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur, et à Troyes le 15 octobre pour les régions Hauts-de-France, Grand-Est et Bourgogne-Franche-Comté. Vous pouvez vous inscrire ICI
La FAS rappelle son engagement dans cette démarche citoyenne. Elle invite l’ensemble du réseau à se saisir de l’opportunité de débattre de la notion d’emploi digne et durable, et de travailler sur la complémentarité des différents dispositifs. Le secteur de l’IAE y a toute sa place pour valoriser et porter son expertise en matière d’accompagnement vers et dans l’emploi, et de développement économique territorial. Dans un contexte de régression des droits sociaux, cette concertation de proximité répond à un enjeu structurel, collectif et progressiste pour l’accès de toute personne volontaire à un emploi digne.
Pour prendre connaissance du livrable issu de la première conférence territoriale : https://www.droitalemploi.fr/wp-content/uploads/2024/05/Concertation-Livrable-Conference-Laval.pdf
Toutes les informations relatives à la concertation sont accessibles sur le site dédié : https://www.droitalemploi.fr/
07 octobre 2024
04 octobre 2024
26 septembre 2024
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.