26 septembre 2024
12 juillet 2022
Le Conseil National des Politiques de Lutte contre la Pauvreté et l’Exclusion sociale (CNLE) a élaboré un outil barométrique qui a vocation à produire à échéance semestrielle une connaissance actualisée des catégories de la population confrontées à diverses difficultés et des affects sociaux qui parcourent la société.
Les résultats du 1er baromètre de suivi qualitatif de la pauvreté et de l’exclusion sociale du CNLE publiés en mai 2022 identifient 5 catégories de publics exposés à des difficultés rencontrées depuis la crise sanitaire.
Pourront ainsi être repérés les nouveaux publics et les nouvelles difficultés rencontrées en allant au-delà du seuil officiel de pauvreté monétaire, et permettant d’appréhender des situations interstitielles, des populations « hors champ » des radars des instruments de mesures habituels.
Il s’appuie sur un questionnaire proposé aux structures et collectivités locales qui aident et accompagnent les populations en situation de vulnérabilité en France : associations, services publics et organismes divers.
Entre octobre 2021 et février 2022, 128 acteurs de terrain dans la France entière – travailleurs sociaux, associations de lutte contre l’exclusion, gestionnaires de structures d’hébergement, d’ateliers et de chantiers d’insertion, réseaux bancaires (Crédit municipal…) ou encore institutions (Défenseur des droits, Centre national des œuvres universitaires et scolaires, Pôle Emploi, Centre du droit des femmes, points d’information médiation multiservices) ont participé.
La phase test a permis d’identifier 5 catégories de publics se différenciant par des difficultés rencontrées depuis la crise sanitaire : les ménages soumis à des tensions financières – les personnes basculant dans des situations de précarité – les personnes en souffrance (isolement, conditions de travail) – les personnes ayant des difficultés de santé notamment psychologiques – les personnes en difficulté dans l’accès aux droits.
Des difficultés conjoncturelles pouvant s’ancrer dans le long terme ont été identifiées : des contraintes croissantes d’accès aux droits, de nouveaux besoins identifiés et la persistance de non-recours – une vigilance à observer sur la forte dégradation de certaines situations – le logement : une question transversale aux difficultés précédentes – des structures en surcharge.
Cliquez ici pour découvrir le baromètre dans son intégralité
26 septembre 2024
13 septembre 2024
10 septembre 2024
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »
Pascal Brice dans @SudRadio sur les enjeux de solidarité suite à la formation du gouvernement
📺À revoir ici : https://www.sudradio.fr/politique/gouvernement-barnier-linquietude-des-acteurs-de-la-solidarite 👇
"2,5 millions de personnes sont en attente d’un logement social partout dans le pays : je dis au premier ministre et à Madame Létard : il faut conserver la loi SRU et la mettre en œuvre."⬇️
"Il faut réduire le déficit budgétaire, mais est-ce que c’est aux pauvres et à celles et ceux qui n'arrivent pas à ce loger d’y remédier ? Non. C’est à celles et ceux qui ont le moyen de contribuer à la solidarité."