26 septembre 2024
26 novembre 2019
Ce 20 novembre 2019 étaient célébrés les trente ans de l’adoption de la Convention internationale des droits de l’enfant. La Fédération des acteurs de la solidarité, engagée dans la promotion des droits de l’enfant a, à cette occasion, participé et contribué à plusieurs événements.
Le 20 novembre, les associations et collectifs membres de la Dynamique De la Convention Aux Actes dont est membre la Fédération des acteurs de la solidarité, ont organisé une soirée festive et engagée au Théâtre du Merveilleux. Lors de cet événement, 12 actes politiques ont été remis aux décideurs publics à l’occasion des 30 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
Sous la bannière commune « De la Convention Aux Actes ! », plus de trente organisations se sont fédérées tout au long de l’année pour mener un travail ambitieux de co-rédaction afin de répondre aux enjeux actuels pour le respect des droits de l’enfant. Au-delà des constats, elles ont formulé 69 propositions concrètes relatives à différentes thématiques – protection, éducation, justice, participation, gouvernance, précarité, santé et environnement.
Petits et grands, sensibilisés ou non à la cause de l’enfance, ont pris part à une manifestation unique et inédite rassemblant jeunesse, politiques et société civile. Après un temps consacré aux enfants, qui ont pu participer à des ateliers animés par les organisations membres de la Dynamique et profiter des jeux d’époque du Théâtre du merveilleux, nos recommandations ont été remises aux politiques concernés, notamment le Secrétaire d’Etat à la Protection de l’enfance, Adrien Taquet, qui représentait le gouvernement, ainsi que des représentants de l’Association des départements de France, du Conseil Economique Social et Environnemental ainsi que des parlementaires. Le Défenseur des Droits et la Défenseure des Enfants étaient tous deux présents et les associations travailleront de concert avec eux afin de veiller à la bonne application de la CIDE et d’assurer un suivi des mesures proposées lors de cette soirée pour permettre un exercice effectif des droits de l’enfant.
Retrouvez le livret des actes ici.
Le 18 novembre, le Défenseur des droits a publié son rapport annuel sur les droits de l’enfant, consacré cette année aux violences au sein des institutions publiques. Ce rapport s’intéresse aux violences visibles et invisibles dont sont trop souvent victimes les enfants lorsqu’ils sont pris en charge au sein d’institutions publiques entendues au sens large, soit le système éducatif, judiciaire, social, médical et médico-social organisant l’accueil, l’accompagnement et la prise en charge des enfants.
Le Défenseur des droits et la Défenseure des enfants constatent à la fois que les violences directes faites aux enfants au sein des institutions publiques sont encore insuffisamment prises en compte mais souligne par ailleurs que les violences peuvent prendre une forme indirecte et êtes engendrée par les carences des institutions publiques, lorsqu’elles ne répondent pas aux besoins de l’enfant, ne respectent pas ses droits ou ne fait pas de son intérêt supérieur une considération primordiale.
La synthèse du rapport est disponible ici, et il vous pouvez le consulter dans son intégralité ici.
Le Défenseur des droits et l’UNESCO organisaient par ailleurs une matinée événement sur les droits de l’enfant le 20 novembre, à laquelle la Fédération des acteurs de la solidarité a été invitée. Le Président de la République, Emmanuel Macron a ouvert la matinée en annonçant certaines mesures relatives au renforcement des contrôles des antécédents judiciaires des personnes amenées à travailler en présence d’enfants et à la protection des enfants dans l’espace numérique. L’événement s’est poursuivi sous la forme de questions posées par des collectifs d’enfants ayant pris part à la consultation organisée par le Défenseur des droits et la Défenseure des enfants aux personnalités politiques présentes.
Le 18 novembre, le collectif Prévenir & Protéger, organisait par ailleurs un événement relatif à la question du respect des droits de l’enfant dans un environnement violent. Le collectif rassemble 14 associations et fédération de promotion et de protection des droits des femmes et des enfants, dont plusieurs associations adhérentes de la Fédération, telles qu’Enfant Présent, Aurore, et FIT Une femme un toit.
La Fédération des acteurs de la solidarité a clôturé les tables rondes qui ont évoqué les thématiques des violences faites aux enfants, de la discrimination dont peuvent notamment être victimes les mineur.e.s non accompagné.e.s et de la participation des enfants à la prise de décisions les concernant. L’intervention de la Fédération s’est centrée sur les problématiques d’hébergement et de logement des enfants et de leurs familles et a été l’occasion de rappeler nos principales recommandations, dont l’objectif « zéro enfant à la rue », le droit à la préservation de l’unité familiale, l’adaptation des structures d’hébergement à l’accueil et l’accompagnement des familles, la garantie du droit à la santé des enfants, la facilitation de l’accès aux loisirs, à la culture et aux vacances et la régularisation des familles hébergées à l’hôtel social.
26 septembre 2024
13 septembre 2024
29 août 2024
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »
Pascal Brice dans @SudRadio sur les enjeux de solidarité suite à la formation du gouvernement
📺À revoir ici : https://www.sudradio.fr/politique/gouvernement-barnier-linquietude-des-acteurs-de-la-solidarite 👇
"2,5 millions de personnes sont en attente d’un logement social partout dans le pays : je dis au premier ministre et à Madame Létard : il faut conserver la loi SRU et la mettre en œuvre."⬇️
"Il faut réduire le déficit budgétaire, mais est-ce que c’est aux pauvres et à celles et ceux qui n'arrivent pas à ce loger d’y remédier ? Non. C’est à celles et ceux qui ont le moyen de contribuer à la solidarité."