10 octobre 2024
3 septembre 2019
Un an après l’entrée en vigueur du RGPD, la Commission nationale de l’informatique et des libertés a fait un point sur les effets de la nouvelle réglementation européenne sur la protection des données.
Elle retient des éléments positifs liés à sa mise en vigueur :
Les professionnels sont au cœur de la mise en conformité puisqu’ils sont amenés à traiter des données personnelles et parfois à caractère sensible dans leurs pratiques quotidiennes. La Commission nationale de l’informatique et des libertés note une prise de conscience de leur part avec une volonté de se mettre en conformité avec le RGPD :
Enfin, l’année 2019 ponctue la fin de la transition vers la conformité au RGPD. Au vu des besoins à la fin de cette période, la Commission nationale de l’informatique et des libertés va amplifier ses actions d’accompagnement :
Dans cet esprit, la Commission nationale de l’informatique et des libertés a mis à disposition sur son site plusieurs outils, ouvert à tous et pour accompagner les professionnels dans leur mise en conformité :
10 octobre 2024
07 octobre 2024
07 octobre 2024
📢La lutte contre la pauvreté : Un investissement social payant !
Retrouvez l'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE dont la FAS fait partie ici :
La lutte contre la pauvreté : Un investissement social payant !
Dans un contexte où la priorité de lutte contre la pauvreté se heurte régulièrement aux objectifs de réduction...
www.alerte-exclusions.fr
📢#Pauvreté : "La France n'a pas seulement les moyens et le devoir d'éradiquer la pauvreté, elle y a intérêt !"
💡L'étude inédite publiée par le Collectif ALERTE brise le idées reçues et invite les pouvoirs publics à agir !
🔎A découvrir ici👉https://lstu.fr/PRDF8Fqo
On est dans la confusion la plus générale.Le ministre additionne des montants accordés à des associations sans l’intervention desquelles le désordre serait généralisé.On est loin du pragmatisme et de la lucidité prônés par Michel Barnier. » fustige P.Brice
Bruno Retailleau cible les associations d’aide aux migrants
Le ministre de l’intérieur a dénoncé la présence des associations dans les centres de rétention administrative et leur subventionnement.
www.lemonde.fr
Laisser des enfants dormir dans la rue c'est sacrifier leur santé mentale, les surexposer aux retards de développement.
Aucun enfant ne doit aller à l'école sans savoir où il dormira le soir.
Les associations alertent encore ce matin. L'inaction du gouvernement est intolérable.
💬 "Qu'on arrête de diviser les gens, de les mettre en concurrence les uns contre les autres."
Les mots de Pascal Brice, président de la Fédération de la solidarité
#ApollineMatin
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »