26 avril 2024
20 février 2024
→ Retrouvez la tribune sur le site lemonde.fr
Neuf personnalités, parmi lesquelles deux anciens ministres du logement, Louis Besson, Emmanuelle Cosse, et Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, dénoncent, dans une tribune au « Monde », les attaques de Gabriel Attal contre la loi qui permet de loger les ménages aux revenus modestes.
En annonçant dans son discours de politique générale, mardi 30 janvier, vouloir réformer l’article 55 de la loi Solidarité et renouvellement urbain, ou loi SRU, le premier ministre, Gabriel Attal a porté un coup terrible à un équilibre républicain devenu essentiel. Adoptée en 2000, la promesse de la loi SRU était simple : s’assurer que toutes les communes urbanisées disposent de 20 % à 25 % de logements sociaux. Elle faisait entrer dans notre vie démocratique une règle de bon sens : mettre fin à la « spécialisation » de certains territoires ; autrement dit, en finir avec « les ghettos de pauvres » face aux enclaves de richesses sans aucun logement accessible aux plus modestes. La loi SRU, c’est la garantie du socle minimum de contribution de tous les territoires à l’exigence de solidarité nationale que constitue le droit au logement.
La loi SRU a produit en vingt ans des effets économiques et sociaux considérables. Elle a permis la construction de plus de la moitié des logements sociaux. La loi « 3DS » (« Différenciation, décentralisation, déconcentration et simplification ») récemment adoptée l’a sanctuarisée. La loi SRU lutte concrètement contre les différents séparatismes et permet à de nombreuses villes, victimes de la spéculation immobilière et de la cherté des loyers, de continuer d’accueillir des ménages aux revenus modestes. Cette loi prend place parmi les grands textes législatifs qui structurent notre démocratie.
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Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
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Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
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TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
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Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
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Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
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🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.