24 avril 2024
25 juin 2020
Analyse et recommandations de la Fédération des acteurs de la solidarité et de la Fondation des Femmes.
Améliorer la réponse aux violences conjugales et lutter contre les violences faites aux femmes est un objectif gouvernemental affiché : il s’agit d’une grande cause nationale et le Grenelle des violences conjugales, qui a eu lieu fin 2019, avait cette ambition. La Fédération des acteurs de la solidarité a participé aux travaux du Grenelle et a notamment contribué à élaborer une charte de coopération entre les SIAO et le 3919. Nous avions alors regretté le caractère insuffisant des résultats du Grenelle sur les questions d’hébergement et d’accès au logement des femmes victimes de violences, estimant que les 250 places d’hébergement d’urgence et 750 mesures d’ALT prévues ne répondaient ni quantitativement ni qualitativement aux besoins.
La question de l’hébergement des femmes victimes de violences a été une problématique majeure pendant le confinement. Pour de nombreuses femmes, cette période a été synonyme de violences plus fréquentes, plus intenses et d’une mise en danger accrue de leur vie ainsi que de celle des enfants éventuels du foyer. Pour d’autres, et c’est notamment un phénomène qui émerge depuis le début du déconfinement, la période de confinement a été l’occasion de prendre conscience qu’elles étaient victimes de violences dans le cadre de leur couple et le déclic pour partir. Selon les remontées de terrain en notre possession, ce sont probablement plusieurs centaines de femmes qui furent concernées, et beaucoup plus d’enfants.
Pendant la période du confinement, le gouvernement a affiché la volonté d’héberger toutes les femmes victimes de violences conjugales qui en exprimaient le besoin, de manière inconditionnelle. Marlène Schiappa annonçait ainsi le financement de 20.000 nuitées et un engagement de 500 000 euros pour héberger en urgence des femmes victimes et des auteurs de violences.
Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
🔎Zoom sur les premiers éléments du programme 👇
👉 Informations et inscriptions :
https://evenement.federationsolidarite.org/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=flash-info-journees-du-travail-social-24-et-25-septembre-2024-les-inscriptions-sont-ouvertes-756
Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la...
TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
www.lemonde.fr
Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
Rdv les 24 et 25 septembre 2024 à Nancy.
➡️Information & inscriptions ici :
Journées du Travail Social
Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
evenement.federationsolidarite.org
🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.