26 avril 2024
10 novembre 2022
Après la forte mobilisation de la FAS, de ses adhérents et partenaires associatifs mais aussi de député.es et de maires de grandes métropoles, le gouvernement a décidé d’ajouter par voie d’amendement 40 millions d’euros au projet de loi de finances 2023 dans le programme budgétaire 177. Ce faisant, le gouvernement affiche sa volonté de stabiliser le parc d’hébergement à hauteur de 197 000 places alors que 14 000 places devaient être supprimées d’ici la fin de l’année prochaine.
La Fédération salue cette décision gouvernementale, au regard de la situation plus que tendue d’accès à l’hebergement et au logement. Ainsi, ce sont plus de 6 000 personnes dont près de 2 000 enfants, qui appellent chaque jour le numéro 115 sans qu’il ne leur soit fait de proposition d’hébergement. Par ailleurs, un grand nombre de personnes à la rue ne sollicitent pas ou plus le 115, souvent par découragement, ce qui signifie que les besoins en hébergement sont bien plus élevés que ceux recensés actuellement. S’agissant du logement, le nombre de demandeurs de logement augmentent tandis que la rotation dans le parc social ne cesse de diminuer et que la production neuve n’est pas suffisante et avec des niveaux de loyer bien souvent trop élevés pour les ménages les plus précaires. Enfin, l’inflation fait craindre une hausse des impayés locatifs, dans le parc social comme dans le parc privé, et ainsi une possible augmentation des expulsions locatives à moyen terme.
Si le signal envoyé par l’exécutif est positif, nous devons collectivement et dès à présent maintenir l’ambition de l’accès au logement le plus direct possible pour les personnes en situation de précarité et faire en sorte que les conditions soient réunies afin qu’elles s’y maintiennent. A ce titre, la Fédération rappelle plus que jamais la nécessité d’avoir une programmation pluriannuelle « de la rue au logement » pouvant répondre à ces deux objectifs et visant la fin du sans-abrisme.
26 avril 2024
24 avril 2024
18 avril 2024
Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
🔎Zoom sur les premiers éléments du programme 👇
👉 Informations et inscriptions :
https://evenement.federationsolidarite.org/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=flash-info-journees-du-travail-social-24-et-25-septembre-2024-les-inscriptions-sont-ouvertes-756
Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la...
TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
www.lemonde.fr
Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
Rdv les 24 et 25 septembre 2024 à Nancy.
➡️Information & inscriptions ici :
Journées du Travail Social
Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
evenement.federationsolidarite.org
🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.