26 avril 2024
18 février 2020
Depuis le 5 novembre 2019, la carte de retrait de l’Allocation pour demandeurs d’asile (ADA) est devenue une carte de paiement ne permettant plus d’effectuer des retraits d’argent. Malgré l’opposition unanime des associations de terrain contre cette réforme et un avis très défavorable de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), le gouvernement continue de mettre en application cette mesure qui complique la vie de milliers de personnes venues demander l’asile en France.
Témoignage d’un demandeur d’asile qui a connu l’avant et l’après réforme.
Il y a eu de gros changement depuis la réforme de la carte ADA. Avant, elle pouvait me servir à retirer de l’argent pour payer le loyer de mon logement, et pour payer toutes les autres choses. Maintenant, je ne peux plus retirer de l’argent au distributeur, donc je ne peux plus payer le loyer. Alors on s’arrange avec des amis qui nous avancent de l’argent et qu’on leur rend dès qu’on en gagne un peu. La vérité c’est qu’on vit très mal parce qu’on n’a rien ici. C’est la galère pour moi et mes amis.
Avoir de l’argent liquide, ça nous fait du bien. On peut faire des choses. On se sent plus libre.
Maintenant c’est très compliqué. Il y a des magasins qui ne prennent pas la carte, d’autres qui ne prennent pas la carte en dessous en 10, 15 ou 20 euros… alors quand on a juste besoin d’un paquet de pâtes ou une petite chose, on est obligés d’acheter d’autres choses dont on a pas besoin pour pouvoir faire une carte. Et quand on veut juste boire un café à 1 euro, on ne peut pas.
On n’a pas trouvé de solution. Mais on se débrouille, on est parfois obligés de travailler au noir pour trouver de l’argent, rembourser les amis…
Je dirais qu’ils n’ont qu’à nous aider à trouver des solutions plutôt que rendre nos vies encore plus difficiles.
26 avril 2024
24 avril 2024
18 avril 2024
Avec @arifts_pdl à Rezé (44) pour débattre dans ce haut lieu de formation des formes de la mobilisation pour porter le travail social au cœur de la société.
Avec #VéroniqueLambert et les équipes #Etape44 à Saint-Herblain pour partager les mobilisations pour l'insertion.
🗓 Rendez-vous pour les Journées du Travail Social les 24 & 25 septembre 2024 à Nancy !
🔎Zoom sur les premiers éléments du programme 👇
👉 Informations et inscriptions :
https://evenement.federationsolidarite.org/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_source_platform=mailpoet&utm_campaign=flash-info-journees-du-travail-social-24-et-25-septembre-2024-les-inscriptions-sont-ouvertes-756
Pour avoir une idée des ordres de grandeur : 83 450 ménages dépassant les plafonds paient un Supplément de loyer de solidarité (SLS), soit 1,6 % des 5,2 millions de locataires HLM. Magnifique contrefeu gouvernemental pour faire oublier son bilan désastreux.
Le Comité national pour l'emploi a été installé par @CaVautrin, avec 48 membres dont des représentants @unccas, @UNmissionlocale, @ADepartementsF, @andicat_asso ou encore @FedeSolidarite. https://www.lemediasocial.fr/fb9fed0c2_e6eb_4980_93c6_9ba78a5e2c75
📢« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système ».
👉La FAS signataire de la #tribune portée par @apfhandicap dans @lemondefr
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la...
TRIBUNE. Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emme...
www.lemonde.fr
Journées Du Travail Social : «pouvoirs d’agir, pouvoir agir» : les inscriptions sont ouvertes !
Rdv les 24 et 25 septembre 2024 à Nancy.
➡️Information & inscriptions ici :
Journées du Travail Social
Journées du Travail Social 24 et 25 septembre 2024 La période que nous traversons est difficile. Notre pays, com...
evenement.federationsolidarite.org
🖍️ L'actu vue par Gros (@GrosPascal), cette semaine dans "Marianne"
Écoutez ce bourreau expliquer que des femmes, des enfants, des femmes lui avaient été désignés comme des animaux. Nul besoin d'être Rwandais pour qu'à un moment la déshumanisation de l'Autre finisse par fabriquer des bourreaux.